Titre : Meurtres sur le Palatin.
Auteur : Christina Rodriguez
Editeur : éditions du Masque, collection Labyrinthe.
Nombre de pages : 323.
Quatrième de couverture :
Dans la Rome impériale, sous le règne de Tibère, on fait de bien étranges découvertes. Comme celle d'un cadavre, affreusement mutilé, sous la langue duquel on a glissé un denier. Paiemant pour son passage aux Enfers ?
Kaeso le prétorien, ami de Caligula et fils d'une prêtresse venue de Germanie, est chargé de l'enquête alors qu'il a déjà fort à faire. Outre protéger la famille impériale, il doit lutter contre la corruption des bas-fonds de la ville, se garder de la vengeance de ses anciens compagnons d'armes et... fuir les assiduités de la malicieuse Concordia, sa ravissante cousine.
Quand le mystérieux Apollonius, qui se prétend l'oracle d'Apollon, entre en scène, Kaeso est subjugué par sa beauté. Que cache vraiment cet éphebe qui a ses entrées dans la plus haute société romaine, avide de sangmants combats de gladiteurs et de paris truqués ? Kaeso, flanqué de Io, son inséparable léopard, n'aura d'autre choix que de le découvrir.
Mon avis :
Avez-vous déjà essayé de donner un bain à un chat ? Oui ? Et comment cela s'est passé ? Tirons un voile pudique sur une aventure qui a dû se terminer de façon sanglante. Vous mesurerez le courage de Kaeso en sachant qu'il fait prendre des bains réguliers à Io, son léopard.
Oui, j'avoue avoir été plus fascinée par ce personnage (celui de Io, entendons-nous) que par les autres. J'aime beaucoup ses apparitions, ou les moments (courts) où Kaeso lui prête (lisez donc le début du chapitre 10 et son étude comparative des mollets qui passent à portée de ses mâchoires).
J'avoue ne pas être très fan de cette période historique (la faute à de mauvais souvenirs de cours de latin). Néanmoins, ce livre se lit très facilement : nous avons à portée de lecture tous les éléments historiques qui nous permettent de comprendre l'intrigue, sans que celle-ci en soit alourdie. Autre chance : les personnages sont fortement caractérisés, et ont des personnalités extrêmement intéressantes. Nous découvrons Rome et sa part d'ombre, ce qui se passe dans les coulisses de la haute société romaine, entre combats de gladiateurs clandestins et protitutions.
Roman policier ? Je me suis plus intéressé au personnage d'Apollonius, à son étrangeté, au devenir du jeune esclave Mnester qu'à la résolution de l'enquête.
Note : et si Concordia et Kaeso cessaient leur jeu du chat et de la souris ? Kaeso est déjà assez vulnérable alors que Concordia n'est que sa cousine, alors si elle était sa femme, je n'ose imaginer les rebondissements possibles.
Auteur : Christina Rodriguez
Editeur : éditions du Masque, collection Labyrinthe.
Nombre de pages : 323.
Quatrième de couverture :
Dans la Rome impériale, sous le règne de Tibère, on fait de bien étranges découvertes. Comme celle d'un cadavre, affreusement mutilé, sous la langue duquel on a glissé un denier. Paiemant pour son passage aux Enfers ?
Kaeso le prétorien, ami de Caligula et fils d'une prêtresse venue de Germanie, est chargé de l'enquête alors qu'il a déjà fort à faire. Outre protéger la famille impériale, il doit lutter contre la corruption des bas-fonds de la ville, se garder de la vengeance de ses anciens compagnons d'armes et... fuir les assiduités de la malicieuse Concordia, sa ravissante cousine.
Quand le mystérieux Apollonius, qui se prétend l'oracle d'Apollon, entre en scène, Kaeso est subjugué par sa beauté. Que cache vraiment cet éphebe qui a ses entrées dans la plus haute société romaine, avide de sangmants combats de gladiteurs et de paris truqués ? Kaeso, flanqué de Io, son inséparable léopard, n'aura d'autre choix que de le découvrir.
Mon avis :
Avez-vous déjà essayé de donner un bain à un chat ? Oui ? Et comment cela s'est passé ? Tirons un voile pudique sur une aventure qui a dû se terminer de façon sanglante. Vous mesurerez le courage de Kaeso en sachant qu'il fait prendre des bains réguliers à Io, son léopard.
Oui, j'avoue avoir été plus fascinée par ce personnage (celui de Io, entendons-nous) que par les autres. J'aime beaucoup ses apparitions, ou les moments (courts) où Kaeso lui prête (lisez donc le début du chapitre 10 et son étude comparative des mollets qui passent à portée de ses mâchoires).
J'avoue ne pas être très fan de cette période historique (la faute à de mauvais souvenirs de cours de latin). Néanmoins, ce livre se lit très facilement : nous avons à portée de lecture tous les éléments historiques qui nous permettent de comprendre l'intrigue, sans que celle-ci en soit alourdie. Autre chance : les personnages sont fortement caractérisés, et ont des personnalités extrêmement intéressantes. Nous découvrons Rome et sa part d'ombre, ce qui se passe dans les coulisses de la haute société romaine, entre combats de gladiateurs clandestins et protitutions.
Roman policier ? Je me suis plus intéressé au personnage d'Apollonius, à son étrangeté, au devenir du jeune esclave Mnester qu'à la résolution de l'enquête.
Note : et si Concordia et Kaeso cessaient leur jeu du chat et de la souris ? Kaeso est déjà assez vulnérable alors que Concordia n'est que sa cousine, alors si elle était sa femme, je n'ose imaginer les rebondissements possibles.