Le cahier rouge
Résumé :
Le cahier rouge est en réalité la biographie de Benjamin Constant de 1767, date de sa naissance, à 1787.
Le titre est du au support originel qu'avait choisit l'auteur.
Le livre en lui même a été publié posthume en 1907.
Dans ce dernier, l'écrivain à l'âge mur évoque non sans ironie sa jeunesse mouvementé. Il parle alors des voyages qu'il a effectué à travers l'Europe des philosophes des lumières. De précepteurs en précepteurs, de débiteurs en débiteurs, de salons culturels en salons culturels le jeune Benjamin va grandir et prendre en maturité. Il est a l'époque armé de culot sans complexe et d'une chance illimité que seul limite l'autorité paternelle.
Mon avis :
C'est un livre court qui se lit très bien. Malgré l'époque et la volubilité de l'auteur (il était politicien) le style est parfaitement compréhensible et même très agréable. Les lignes s’enchaînent en cascade martelées d'un vocabulaire pointu et recherché.
Ce que j'ai beaucoup apprécié c'est la traduction du malaise de nombreux adolescents. Seul le voyage apaise Constant. Il se laisse aller comme on dit de nos jours, et ce désœuvrement l'éloigne des excès comme le jeux et de la rigueur militaire de son Père.
A cet age la, il découvre la vie. Il commence par s'instruire en lisant parfois jusqu’à "8 ou 9 heures par jour", puis il expérimente toutes sortes de mode de vie et de précepteurs. Et enfin il y a de bonnes parties sur l'amour et l'amitié.
On peut évoquer aussi la dimension philosophique, qui reste la plupart du temps implicite même si certains passages sont des réflexions divers de l'auteur.
Je le conseil, pour ceux qui veulent un bouquin pas trop long (92 pages), classique et pas très compliqué à lire. Il est aussi fort plaisant pour ceux qui aiment l'histoire comme moi.
Résumé :
Le cahier rouge est en réalité la biographie de Benjamin Constant de 1767, date de sa naissance, à 1787.
Le titre est du au support originel qu'avait choisit l'auteur.
Le livre en lui même a été publié posthume en 1907.
Dans ce dernier, l'écrivain à l'âge mur évoque non sans ironie sa jeunesse mouvementé. Il parle alors des voyages qu'il a effectué à travers l'Europe des philosophes des lumières. De précepteurs en précepteurs, de débiteurs en débiteurs, de salons culturels en salons culturels le jeune Benjamin va grandir et prendre en maturité. Il est a l'époque armé de culot sans complexe et d'une chance illimité que seul limite l'autorité paternelle.
Mon avis :
C'est un livre court qui se lit très bien. Malgré l'époque et la volubilité de l'auteur (il était politicien) le style est parfaitement compréhensible et même très agréable. Les lignes s’enchaînent en cascade martelées d'un vocabulaire pointu et recherché.
Ce que j'ai beaucoup apprécié c'est la traduction du malaise de nombreux adolescents. Seul le voyage apaise Constant. Il se laisse aller comme on dit de nos jours, et ce désœuvrement l'éloigne des excès comme le jeux et de la rigueur militaire de son Père.
A cet age la, il découvre la vie. Il commence par s'instruire en lisant parfois jusqu’à "8 ou 9 heures par jour", puis il expérimente toutes sortes de mode de vie et de précepteurs. Et enfin il y a de bonnes parties sur l'amour et l'amitié.
On peut évoquer aussi la dimension philosophique, qui reste la plupart du temps implicite même si certains passages sont des réflexions divers de l'auteur.
Je le conseil, pour ceux qui veulent un bouquin pas trop long (92 pages), classique et pas très compliqué à lire. Il est aussi fort plaisant pour ceux qui aiment l'histoire comme moi.