BRACONE Jérémy
Danse avec la foudre
275 pages
Résumé :
Figuette est ouvrier et père célibataire de la petite Zoé depuis que sa femme, Moïra, imprévisible et passionnée, a fugué. L’été arrive et l’usine qui l’emploie menace de fermer, il n’aura pas les moyens d’emmener sa fille en vacances comme il l’avait promis.
Pour séduire Moïra, il avait été capable des plus belles folies. Pour la reconquérir et ne pas décevoir sa fille, il va aller encore plus loin.
Au coeur de la Lorraine en faillite industrielle, une communauté ouvrière indomptable et l’histoire d’un amour fou.
Mon avis :
Je suis mitigée sur ce roman. Au début, ça commençait bien, on découvrait l'enfance de Figuette, sa rencontre avec Moïra, puis la concrétisation de leur amour, Zoé. Mais un jour, Moïra fugue, lassée de devoir s'occuper de tout pendant que Figuette travaille ou va au bar avec ses copains.
Elle décide de partir sans rien dire, Figuette s'inquiète, même s'il le montre très mal, il l'aime, malgré sa maniaco-dépressivité.
Il doit s'occuper de sa fille, tant bien que mal.
Et là, ça devient très difficile à suivre, car les chapitres courts se suivent, mais certains se déroulent avant la fugue de Moïra, d'autres après, sans que cela ne soit dit, on le devine implictiement. Sans parler des dialogues qui, parfois, ne comportent aucune ponctuation ni de retour à la ligne pour mieux comprendre qui parle. C'est un cafouillis, il faut s'accrocher pour bien comprendre le déroulement de l'histoire, où on en est, à quelle époque.
De plus, la fin ouverte a achevé de me décevoir.
Danse avec la foudre
275 pages
Résumé :
Figuette est ouvrier et père célibataire de la petite Zoé depuis que sa femme, Moïra, imprévisible et passionnée, a fugué. L’été arrive et l’usine qui l’emploie menace de fermer, il n’aura pas les moyens d’emmener sa fille en vacances comme il l’avait promis.
Pour séduire Moïra, il avait été capable des plus belles folies. Pour la reconquérir et ne pas décevoir sa fille, il va aller encore plus loin.
Au coeur de la Lorraine en faillite industrielle, une communauté ouvrière indomptable et l’histoire d’un amour fou.
Mon avis :
Je suis mitigée sur ce roman. Au début, ça commençait bien, on découvrait l'enfance de Figuette, sa rencontre avec Moïra, puis la concrétisation de leur amour, Zoé. Mais un jour, Moïra fugue, lassée de devoir s'occuper de tout pendant que Figuette travaille ou va au bar avec ses copains.
Elle décide de partir sans rien dire, Figuette s'inquiète, même s'il le montre très mal, il l'aime, malgré sa maniaco-dépressivité.
Il doit s'occuper de sa fille, tant bien que mal.
Et là, ça devient très difficile à suivre, car les chapitres courts se suivent, mais certains se déroulent avant la fugue de Moïra, d'autres après, sans que cela ne soit dit, on le devine implictiement. Sans parler des dialogues qui, parfois, ne comportent aucune ponctuation ni de retour à la ligne pour mieux comprendre qui parle. C'est un cafouillis, il faut s'accrocher pour bien comprendre le déroulement de l'histoire, où on en est, à quelle époque.
De plus, la fin ouverte a achevé de me décevoir.