Crépuscule
299 pages
Résumé :
Au coeur d'un New York insomniaque, un roman éblouissant sur l'art, le désir, le couple, la mort. Le grand retour de Michael Cunningham pour une oeuvre d'une douloureuse beauté.
Peter et Rebecca Harris ou le couple new-yorkais par excellence : lui est galeriste, elle est éditrice, ils ont la quarantaine fringante, un superbe loft à Soho, une fille en route pour l'université, des amis brillants. En un mot, la quintessence de la réussite et du bonheur.
Jusqu'à l'arrivée de Mizzy, le frère de Rebecca, jeune beauté androgyne de vingt-trois ans au charme ambigu.
Fasciné, envieux de la liberté de Mizzy, troublé par ce prince gracieux et décadent qui lui rappelle tant son défunt père, Peter va tout remettre en question, ses artistes, sa carrière, son mariage, le monde qu'il avait mis tant de soin à se construire...
Né en 1952 à Cincinnati (Ohio), Michael Cunningham vit à New York. Son premier roman et ses textes publiés dans le New Yorker lui ont attiré la faveur de la critique américaine, mais c'est La Maison du bout du monde (Belfond, 1999 ; 10/18, 2003), qui lui apporte la consécration littéraire. Après De chair et de sang (Belfond, 2000), Les Heures (Belfond, 1999 ; 10/18, 2004), couronnées par le prix Pulitzer et le PEN/Faulkner Award et brillamment adaptées au cinéma par David Hare et réalisées par Stephen Daldry, en 2003, avec Nicole Kidman, Julianne Moore et Meryl Streep, et Le Livre des jours (Belfond, 2006 ; Pocket, 2008), Crépuscule est son cinquième roman.
Mon avis :
J'avais déjà lu cet auteur, j'avais été un peu déçue dans ses précédents romans de la longueur de ses textes, on s'ennuyait parfois mais l'intrigue tenait en haleine tout de même.
Là, c'est tout le contraire, le roman est très bien écrit, on tourne les pages très vite, l'écriture est fluide, mais quelle déception à la fin ! Une fin ouverte comme je déteste ! Et pourtant, ce roman était très bien. Il méritait une suite ou une fin plus achevée.
299 pages
Résumé :
Au coeur d'un New York insomniaque, un roman éblouissant sur l'art, le désir, le couple, la mort. Le grand retour de Michael Cunningham pour une oeuvre d'une douloureuse beauté.
Peter et Rebecca Harris ou le couple new-yorkais par excellence : lui est galeriste, elle est éditrice, ils ont la quarantaine fringante, un superbe loft à Soho, une fille en route pour l'université, des amis brillants. En un mot, la quintessence de la réussite et du bonheur.
Jusqu'à l'arrivée de Mizzy, le frère de Rebecca, jeune beauté androgyne de vingt-trois ans au charme ambigu.
Fasciné, envieux de la liberté de Mizzy, troublé par ce prince gracieux et décadent qui lui rappelle tant son défunt père, Peter va tout remettre en question, ses artistes, sa carrière, son mariage, le monde qu'il avait mis tant de soin à se construire...
Né en 1952 à Cincinnati (Ohio), Michael Cunningham vit à New York. Son premier roman et ses textes publiés dans le New Yorker lui ont attiré la faveur de la critique américaine, mais c'est La Maison du bout du monde (Belfond, 1999 ; 10/18, 2003), qui lui apporte la consécration littéraire. Après De chair et de sang (Belfond, 2000), Les Heures (Belfond, 1999 ; 10/18, 2004), couronnées par le prix Pulitzer et le PEN/Faulkner Award et brillamment adaptées au cinéma par David Hare et réalisées par Stephen Daldry, en 2003, avec Nicole Kidman, Julianne Moore et Meryl Streep, et Le Livre des jours (Belfond, 2006 ; Pocket, 2008), Crépuscule est son cinquième roman.
Mon avis :
J'avais déjà lu cet auteur, j'avais été un peu déçue dans ses précédents romans de la longueur de ses textes, on s'ennuyait parfois mais l'intrigue tenait en haleine tout de même.
Là, c'est tout le contraire, le roman est très bien écrit, on tourne les pages très vite, l'écriture est fluide, mais quelle déception à la fin ! Une fin ouverte comme je déteste ! Et pourtant, ce roman était très bien. Il méritait une suite ou une fin plus achevée.