Mon résumé :
James Bond rentre tout juste de convalescence. Il a besoin de vacances, disent ses supérieurs. Aussi, l’envoient-ils aux Caraïbes, pour une gentille petite mission de rien du tout : les deux agents ont sans doute fait une fugue amoureuse ! Une telle mission ne réjouit pas l’agent 007, si ce n’est qu’il découvre très vite que la vérité n’est pas si simple.
Mon avis :
Ce n’est pas une nouveauté, je suis fan de James Bond, je les ai tous vus. Par contre, je suis loin d’avoir lu les hommages que certains auteurs rendent aux personnages – je préfère la version originale.
Une catastrophe n’arrive jamais seule pour James. En plus d’être "en vacances" (et pourquoi pas inapte aux services, tandis qu’on y est ?), il ne peut garder son arme fétiche. Et pourquoi pas rester à Londres pour boire du thé, tandis qu’on y est ?
Heureusement pour lui – malheureusement pour les autres – James est particulièrement en forme. Et chanceux. Son partenaire, Quarell, l’est nettement moins. Quant à Honey, elle est bien différente d’Ursula Andress – et je ne connais guère d’actrice qui aurait accepté, même avec force maquillage, de jouer une créature sculpturale défigurée.
Les services secrets anglais s’en sont-ils mordus les doigts ? Un peu. Qui sort vainqueur ? James Bond, bien sûr. Manquerait plus que cela !
James Bond rentre tout juste de convalescence. Il a besoin de vacances, disent ses supérieurs. Aussi, l’envoient-ils aux Caraïbes, pour une gentille petite mission de rien du tout : les deux agents ont sans doute fait une fugue amoureuse ! Une telle mission ne réjouit pas l’agent 007, si ce n’est qu’il découvre très vite que la vérité n’est pas si simple.
Mon avis :
Ce n’est pas une nouveauté, je suis fan de James Bond, je les ai tous vus. Par contre, je suis loin d’avoir lu les hommages que certains auteurs rendent aux personnages – je préfère la version originale.
Une catastrophe n’arrive jamais seule pour James. En plus d’être "en vacances" (et pourquoi pas inapte aux services, tandis qu’on y est ?), il ne peut garder son arme fétiche. Et pourquoi pas rester à Londres pour boire du thé, tandis qu’on y est ?
Heureusement pour lui – malheureusement pour les autres – James est particulièrement en forme. Et chanceux. Son partenaire, Quarell, l’est nettement moins. Quant à Honey, elle est bien différente d’Ursula Andress – et je ne connais guère d’actrice qui aurait accepté, même avec force maquillage, de jouer une créature sculpturale défigurée.
Les services secrets anglais s’en sont-ils mordus les doigts ? Un peu. Qui sort vainqueur ? James Bond, bien sûr. Manquerait plus que cela !