MA VIE PALPITANTE
Roman édité chez Picquier poche en avril 2014
304 pages
Résumé
Mes parents avaient seize ans quand ils m’ont eu.
J’ai eu seize ans cette année.
Je ne sais pas si je vivrai jusqu’à mes dix-huit ans. Je ne suis sûr que d’une chose : il me reste peu de temps. Pendant que les autres enfants grandissent, moi, je vieillis. Pour moi, chaque heure compte comme un jour. Chaque mois, comme une année. Aujourd’hui, je suis plus vieux que mon père.
Seize ans est-il un bon âge pour avoir un enfant ? Trente-deux ans est-il un bon âge pour le perdre ?
Ceci est l’histoire de très jeunes parents et de leur très vieil enfant.
Mon ressenti
Pas de surprise, le lecteur sait dès les premières pages que le narrateur mourra à la fin du livre, pourtant il est jeune. Seize n’est pas un âge pour mourir pourtant le destin en a décidé autrement. Atteint d’une maladie dégénérative, Aerum vieillit plus rapidement que ses parents.
C’est avec son regard que nous avançons vers l’inéluctable et pourtant pas de tristesse qui plombe les pages, pas de pleurs à outrance non juste la vie. Aerum est en demande de comprendre le monde, de savoir plein de chose, il questionne tout le temps pour assouvir sa curiosité.
Qu’est-ce que le temps ? 16 ans ou 32 ans ou 64 ? Bien sûr le corps s’amoindrit mais la tête gagne, l’âge n’est-il pas aussi une question de raison ?
Aerum nous prend par la main et nous mène dans un voyage doux, avec humour. Un voyage poétique dans le quotidien d’une famille, une écriture fluide, font de ce livre un moment émouvant au pays de la progéria.
A découvrir
Roman édité chez Picquier poche en avril 2014
304 pages
Résumé
Mes parents avaient seize ans quand ils m’ont eu.
J’ai eu seize ans cette année.
Je ne sais pas si je vivrai jusqu’à mes dix-huit ans. Je ne suis sûr que d’une chose : il me reste peu de temps. Pendant que les autres enfants grandissent, moi, je vieillis. Pour moi, chaque heure compte comme un jour. Chaque mois, comme une année. Aujourd’hui, je suis plus vieux que mon père.
Seize ans est-il un bon âge pour avoir un enfant ? Trente-deux ans est-il un bon âge pour le perdre ?
Ceci est l’histoire de très jeunes parents et de leur très vieil enfant.
Mon ressenti
Pas de surprise, le lecteur sait dès les premières pages que le narrateur mourra à la fin du livre, pourtant il est jeune. Seize n’est pas un âge pour mourir pourtant le destin en a décidé autrement. Atteint d’une maladie dégénérative, Aerum vieillit plus rapidement que ses parents.
C’est avec son regard que nous avançons vers l’inéluctable et pourtant pas de tristesse qui plombe les pages, pas de pleurs à outrance non juste la vie. Aerum est en demande de comprendre le monde, de savoir plein de chose, il questionne tout le temps pour assouvir sa curiosité.
Qu’est-ce que le temps ? 16 ans ou 32 ans ou 64 ? Bien sûr le corps s’amoindrit mais la tête gagne, l’âge n’est-il pas aussi une question de raison ?
Aerum nous prend par la main et nous mène dans un voyage doux, avec humour. Un voyage poétique dans le quotidien d’une famille, une écriture fluide, font de ce livre un moment émouvant au pays de la progéria.
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