Elinor Jones, tome 3 : le bal d'été.
Présentation de l’éditeur :
Les caprices de Bianca ont privé l’atelier d’une couturière de trop, et c’est avec une équipe réduite que la maison des Tiffany doit maintenant affronter le bal d’été. Pour finir à temps les robes de toutes les clientes, chacun devra mettre les bouchées doubles. Impossible de ménager Elinor dont la santé avait pourtant été mise à mal par le dernier bal.
Mon avis :
Superbe. Emouvant. Magnifique.
Les masques sont tombés, définitivement. Des secrets, insoupçonnés sont révélés. Les couturières travaillent, souffrent, et en première lieu Elinor, que rien ni personne ne peut empêcher de s’épuiser à la tache.
La lecture du dernier tome de cette trilogie est particulièrement émouvante, tant le destin d’Elinor, pour moi, était déjà écrit lors de son apparition dans le premier tome. Tant aussi, ce livre parle aux femmes, aux jeunes filles, et m’ont amené à m’interroger sur ce qu’on nomme la mode. Combien de femmes se plient à ses diktats, et façonnent leur corps pour rentrer dans des vêtements taille XS ? Combien oublient de porter ce qu’elles aiment réellement, parce que "cela ne se fait pas" ? La leçon de ce tome, délivrée par le mannequin vedette de la maison Tiffany, c’est que le vêtement doit épouser le corps de la femme, il doit être conçu pour le mettre en valeur, et non l’inverse. A méditer, notamment en regardant les sublimes créations du bal d’été, les illustrations flamboyantes – avant les teintes éteintes des dernières pages.
Présentation de l’éditeur :
Les caprices de Bianca ont privé l’atelier d’une couturière de trop, et c’est avec une équipe réduite que la maison des Tiffany doit maintenant affronter le bal d’été. Pour finir à temps les robes de toutes les clientes, chacun devra mettre les bouchées doubles. Impossible de ménager Elinor dont la santé avait pourtant été mise à mal par le dernier bal.
Mon avis :
Superbe. Emouvant. Magnifique.
Les masques sont tombés, définitivement. Des secrets, insoupçonnés sont révélés. Les couturières travaillent, souffrent, et en première lieu Elinor, que rien ni personne ne peut empêcher de s’épuiser à la tache.
La lecture du dernier tome de cette trilogie est particulièrement émouvante, tant le destin d’Elinor, pour moi, était déjà écrit lors de son apparition dans le premier tome. Tant aussi, ce livre parle aux femmes, aux jeunes filles, et m’ont amené à m’interroger sur ce qu’on nomme la mode. Combien de femmes se plient à ses diktats, et façonnent leur corps pour rentrer dans des vêtements taille XS ? Combien oublient de porter ce qu’elles aiment réellement, parce que "cela ne se fait pas" ? La leçon de ce tome, délivrée par le mannequin vedette de la maison Tiffany, c’est que le vêtement doit épouser le corps de la femme, il doit être conçu pour le mettre en valeur, et non l’inverse. A méditer, notamment en regardant les sublimes créations du bal d’été, les illustrations flamboyantes – avant les teintes éteintes des dernières pages.