SMITH Alexander McCall

les chroniques d'Edimbourg ( t.1) : 44 scotland Street



Roman

413 pages édité chez 10/18 en juin 2008

Résumé

Quand
la jeune Pat pousse la porte du 44 Scotland Street, elle espère bien
prendre un nouveau départ. Entre son colocataire, un beau gosse
insupportable et terriblement séduisant, et son excentrique voisine de
palier, Domenica, la voilà entraînée dans une nouvelle vie au cœur de
l’Edimbourg bohème. Son travail à la galerie « Something Special »
s’annonce pourtant un peu morne. Sauf que Pat découvre au fond de
l’obscur endroit un tableau qui pourrait bien valoir son pesant d’or et
transformer sa vie ! d’abord publiées sous la forme d’un roman
feuilleton, ces chroniques brossent avec humour et tendresse la société
d’Edimbourg et composent, entre chassés-croisés amoureux et intrigues
haletantes, une savoureuse galerie de portraits.

Mon avis

Je
ne sais pas pourquoi, j’étais persuadée de lire un roman policier ou à
teneur policière, peut être la couverture qui me faisait penser à de
vieux Sherlock ou Agatha… bref, ce n’est pas un policier mais un roman
feuilleton, il y aura plusieurs livres à suivre…
Un immeuble, quatre à
cinq jeunes qui vivent ensemble, des voisins, un quartier, plusieurs
vie à suivre à tous les niveaux : amour, amitié, professionnel, galère,
coup de gueule ou coup de cœur, découverte de la ville au travers des
personnages…
J’ai bien aimé mais sans plus, étant une fan des
chroniques de San Franscisco, je ne peux m’empêcher de faire une
comparaison et de voir une pale copie … et je n’ai trouvé peu d’intérêt
dans les intrigues…

A vous de voir…

Mma Ramotswe détective
Roman policier

Divorcée d'un mari trompettiste porté sur la bouteille, Precious Ramotswe est bien décidée à ne plus céder aux mirages de l'amour ! J.L.B. Matekoni, gentleman garagiste, lui fait pourtant les yeux doux mais l'inénarrable " Mma " a un projet en tête... Un beau jour, elle se jette à l'eau et ouvre à Gaborone, capitale du Botswana, son pays bien-aimé, la première agence de détectives strictement au féminin. En compagnie de son assistante, Mma Makutsi, elle déclare la guerre aux maris en fuite et aux escrocs sans vergogne. Ne reculant devant aucun danger, elle s'attaquera même à la sorcellerie, le grand tabou de l'Afrique.
Mma Ramotswe mène ses enquêtes tambour battant, sous les yeux de son soupirant favori... et pour notre plus grand plaisir.

A la mort de son père, Precious Ramotswe utilise l'argent issu de la vente de son bétail pour se lancer dans son grand projet: ouvrir la première agence de femmes détectives du Botswana. Après des débuts un peu lents, les affaires prennent un rythme de croisière et les enquêtes s'enchaînent: disparition d'un mari, escroquerie à l'assurance, enlèvement d'un enfant, etc. A chaque fois, Mma Ramotswe fait mouche grâce à sa grande connaissance de la nature humaine.
L'attrait de cette succession de petites histoires ne réside pas dans les enquêtes en elles-mêmes mais plutôt dans le personnage de Mma Ramotswe. Amoureuse de son pays, féministe sans excès, amatrice de thé rouge, d'une sérénité à toute épreuve, Mma Ramotswe nous fait découvrir la douceur de vie du Botswana, la nonchalance africaine et la beauté du Kalahari.
Ce premier tome se termine par une grande nouvelle qui donne envie de lire la suite très vite.

merci Lilou pour cet avis, je le feuilletterai à l'occasion

N'hésite pas Pinky, tu verras ça n'a rien à voir avec Les chroniques d'Edimbourg qui m'avaient déçues aussi.

Ce livre ne m'attire pas, j'ai adoré "Chroniques d'Edimbourg" et ça n'a pas l'air d'être le même genre du tout !

Merci Lilou pour ton avis.
Je vais peut-être inscrire ce livre dans mon tour du monde des polars.

c'est noté Lilou