Montée aux enfers
Edition Babel noir - 272 pages.
Quatrième de couverture:
À Plata, Nouveau-Mexique, Ogden Walker, shérif adjoint du comté, est chargé d’enquêter sur un meurtre dont il apparaît rapidement comme le principal suspect. Problème : c’est lui qui nous raconte l’histoire. Faut-il croire sa version des faits ?
Mon avis :
Je viens de terminer ce livre, et je suis assez déroutée, pour cette première rencontre avec Perceval Everett.
Il faudrait presque commencer le livre par la fin... et le relire après, à la lumière du dénouement.
L'action se passe dans un trou paumé du Nouveau-Mexique, où il ne se passe quasiment rien, si ce n'est un meurtre particulièrement violent d'une vieille dame et de son chat (qui semble très vite oublié). Le moins que je puisse dire est que les enquêteurs ne sont pas très futés, oubliant les précautions les plus élémentaires dans une enquête. Du coup, cela m'a mise mal à l'aise, comme si tout n'était pas dit, et plus je progressais dans le roman, plus le malaise grandissait. La focalisation sur Odgen Walker oriente forcément le récit : d'un côté, il patauge, de l'autre, les faits troublants s'accumulent, entre combats de chien, trafic de drogue et prostitution.
Une expérience intéressante mais je ne pense pas relire un roman de Perceval Everett de sitôt.
Edition Babel noir - 272 pages.
Quatrième de couverture:
À Plata, Nouveau-Mexique, Ogden Walker, shérif adjoint du comté, est chargé d’enquêter sur un meurtre dont il apparaît rapidement comme le principal suspect. Problème : c’est lui qui nous raconte l’histoire. Faut-il croire sa version des faits ?
Mon avis :
Je viens de terminer ce livre, et je suis assez déroutée, pour cette première rencontre avec Perceval Everett.
Il faudrait presque commencer le livre par la fin... et le relire après, à la lumière du dénouement.
L'action se passe dans un trou paumé du Nouveau-Mexique, où il ne se passe quasiment rien, si ce n'est un meurtre particulièrement violent d'une vieille dame et de son chat (qui semble très vite oublié). Le moins que je puisse dire est que les enquêteurs ne sont pas très futés, oubliant les précautions les plus élémentaires dans une enquête. Du coup, cela m'a mise mal à l'aise, comme si tout n'était pas dit, et plus je progressais dans le roman, plus le malaise grandissait. La focalisation sur Odgen Walker oriente forcément le récit : d'un côté, il patauge, de l'autre, les faits troublants s'accumulent, entre combats de chien, trafic de drogue et prostitution.
Une expérience intéressante mais je ne pense pas relire un roman de Perceval Everett de sitôt.