Genre littéraire : Fantasy
Titre : La fille de l’alchimiste
Auteur : Kai Meyer
Nombre de pages : 625
Editeur : Le livre de poche
Résumé (4ème de couverture)
Fin du XIXe siècle.
Aura Institoris a grandi dans le labyrinthe de couloirs obscurs du château de ses ancêtres, bâti sur un récif de la Baltique. Lorsque son père, l’alchimiste Nestor Nepomuk Institoris, est assassiné sur l’ordre de son plus vieux rival, la jeune fille se trouve entraînée malgré elle au cœur d’un conflit dont les racines remontent au Moyen Âge.
Aux côtés de son frère adoptif, elle décide d’affronter le meurtrier de son père. S’initiant à son tour aux terribles secrets de l’alchimie, elle va braver les intrigues et les dangers, et partir sur la piste du plus grand mystère de l’humanité: l’immortalité…
Mon appréciation
Le résumé attire, encourage le lecteur à la lecture rapide de ce roman.
De fait, ça démarre très bien. « Vivement la suite » on se dit. Et le lecteur tombe vite (enfin moi) dans l’ennui.
L’esprit s’égare vers d’autres cieux à la lecture de roman. Beaucoup de difficultés à rester concentré sur l’intrigue de l’histoire. Le rythme est inégal. L’intrigue a du mal à prendre racine. A certains moments on se dit « chouette, ça va enfin démarrer ». Le fait est que ça démarre mais le moteur le l’histoire doit être très encrassé puisque cela s’arrête immédiatement à peine commencé.
Le problème n’est pas l’histoire en elle-même qui est assez sympathique en somme. Le problème vient de la narration elle-même. C’est lourd, sans saveur particulière et l’on a qu’une envie : terminer au plus vite la fin de ce roman. Ca manque de punch, de fluidité. Le suspens devient vite comme un pétard mouillé que l’on tente désespérément d’allumer : ça ne prend pas et c’est bien dommage.
J’ai revu ma note à la hausse uniquement grâce à une très bonne histoire (heureusement). Comme quoi une histoire, aussi intéressante soit-elle, peut-être ennuyeuse à souhait si elle est très mal racontée.
Ma note : 5/10
Titre : La fille de l’alchimiste
Auteur : Kai Meyer
Nombre de pages : 625
Editeur : Le livre de poche
Résumé (4ème de couverture)
Fin du XIXe siècle.
Aura Institoris a grandi dans le labyrinthe de couloirs obscurs du château de ses ancêtres, bâti sur un récif de la Baltique. Lorsque son père, l’alchimiste Nestor Nepomuk Institoris, est assassiné sur l’ordre de son plus vieux rival, la jeune fille se trouve entraînée malgré elle au cœur d’un conflit dont les racines remontent au Moyen Âge.
Aux côtés de son frère adoptif, elle décide d’affronter le meurtrier de son père. S’initiant à son tour aux terribles secrets de l’alchimie, elle va braver les intrigues et les dangers, et partir sur la piste du plus grand mystère de l’humanité: l’immortalité…
Mon appréciation
Le résumé attire, encourage le lecteur à la lecture rapide de ce roman.
De fait, ça démarre très bien. « Vivement la suite » on se dit. Et le lecteur tombe vite (enfin moi) dans l’ennui.
L’esprit s’égare vers d’autres cieux à la lecture de roman. Beaucoup de difficultés à rester concentré sur l’intrigue de l’histoire. Le rythme est inégal. L’intrigue a du mal à prendre racine. A certains moments on se dit « chouette, ça va enfin démarrer ». Le fait est que ça démarre mais le moteur le l’histoire doit être très encrassé puisque cela s’arrête immédiatement à peine commencé.
Le problème n’est pas l’histoire en elle-même qui est assez sympathique en somme. Le problème vient de la narration elle-même. C’est lourd, sans saveur particulière et l’on a qu’une envie : terminer au plus vite la fin de ce roman. Ca manque de punch, de fluidité. Le suspens devient vite comme un pétard mouillé que l’on tente désespérément d’allumer : ça ne prend pas et c’est bien dommage.
J’ai revu ma note à la hausse uniquement grâce à une très bonne histoire (heureusement). Comme quoi une histoire, aussi intéressante soit-elle, peut-être ennuyeuse à souhait si elle est très mal racontée.
Ma note : 5/10