LE TEMPS DES MÉTAMORPHOSES
Roman
381 pages édition 10/18 en décembre 2011
Résumé
A Bulburrow Court, entre les murs épais tapissés de papillons, la vieille Virginia Stone vit recluse. Le jour où sa soeur paraît à la porte du manoir, cinquante ans de silence vacillent. Elles ont tout à réapprendre l'une de l'autre. Mais sous les vestiges
d'une enfance complice et ténébreuse, les souvenirs se muent peu à peu en de terribles révélations…
Biographie de l'auteur : Réalisatrice de nombreux documentaires pour la BBC et The Discovery Channel, Poppy Adams est diplômée en sciences naturelles de l'université de Durham, en Angleterre. Elle se consacre aujourd'hui à l'écriture et vit à Londres. Le Temps des métamorphoses est son premier roman.
Mon ressenti
J’aime beaucoup ce roman, ce huit clos à la façon hitchcockienne. C’est un livre à tiroir et qui manie à profusion l’art de la métaphore, ce qui entraîne confusion.
Pour moi tout est dit dans le titre, le temps des métamorphoses… nos changements, ne sommes-nous pas nous-même en pleine métamorphose, en plein changement… nos vies, nos relations, notre regard, sont toujours en pleine mutation…
Deux sœurs très liées dans leur enfance se retrouvent après 50 ans dans la maison familiale : c’est lourd, pesant… elles se sont quittées à 15/16 ans et se retrouve à plus de 60 ans… entre envie et crainte, entre bonheur et haine, entre complicité et méconnaissance, entre illusions et secrets… le voile va se déchirer, la chrysalide va s’ouvrir… et qui sait ce qui en sortira… c’est toujours un émerveillement, une découverte à chaque fois renouvelé, comme une naissance, un nouveau départ…
Le rythme est long, la maison est grande et sombre, j’aime l’ambiance qui s’y dégage et les odeurs. Il y a de nombreuses descriptions sur le métier lépidoptériste, leur recherches, leurs expériences… (J’aime) ce qui renforce l’idée de métamorphose, de lenteur (il faut du temps pour changer !) et qu’il faut du temps…
Autour des relations familiales, Poppy insiste sur cette notion de temps, il faut du temps pour faire quelqu’un, pour prendre la mesure d’une vie, prendre conscience des impacts, des ruptures et que seule la communication peut lever les voiles des secrets, des illusions… aller à la rencontre de l’autre n’est pas toujours simple… prendre le temps de goûter ce qui nous arriver, de le mesurer…
J’ai eu beaucoup de plaisir à lire ce livre, je ne peux que vous le conseiller
Par contre mon amie a détesté… à vous de voir (mais bon vous ne connaissez pas mon amie [elle a des goûts de chiots !!!])
Roman
381 pages édition 10/18 en décembre 2011
Résumé
A Bulburrow Court, entre les murs épais tapissés de papillons, la vieille Virginia Stone vit recluse. Le jour où sa soeur paraît à la porte du manoir, cinquante ans de silence vacillent. Elles ont tout à réapprendre l'une de l'autre. Mais sous les vestiges
d'une enfance complice et ténébreuse, les souvenirs se muent peu à peu en de terribles révélations…
Biographie de l'auteur : Réalisatrice de nombreux documentaires pour la BBC et The Discovery Channel, Poppy Adams est diplômée en sciences naturelles de l'université de Durham, en Angleterre. Elle se consacre aujourd'hui à l'écriture et vit à Londres. Le Temps des métamorphoses est son premier roman.
Mon ressenti
J’aime beaucoup ce roman, ce huit clos à la façon hitchcockienne. C’est un livre à tiroir et qui manie à profusion l’art de la métaphore, ce qui entraîne confusion.
Pour moi tout est dit dans le titre, le temps des métamorphoses… nos changements, ne sommes-nous pas nous-même en pleine métamorphose, en plein changement… nos vies, nos relations, notre regard, sont toujours en pleine mutation…
Deux sœurs très liées dans leur enfance se retrouvent après 50 ans dans la maison familiale : c’est lourd, pesant… elles se sont quittées à 15/16 ans et se retrouve à plus de 60 ans… entre envie et crainte, entre bonheur et haine, entre complicité et méconnaissance, entre illusions et secrets… le voile va se déchirer, la chrysalide va s’ouvrir… et qui sait ce qui en sortira… c’est toujours un émerveillement, une découverte à chaque fois renouvelé, comme une naissance, un nouveau départ…
Le rythme est long, la maison est grande et sombre, j’aime l’ambiance qui s’y dégage et les odeurs. Il y a de nombreuses descriptions sur le métier lépidoptériste, leur recherches, leurs expériences… (J’aime) ce qui renforce l’idée de métamorphose, de lenteur (il faut du temps pour changer !) et qu’il faut du temps…
Autour des relations familiales, Poppy insiste sur cette notion de temps, il faut du temps pour faire quelqu’un, pour prendre la mesure d’une vie, prendre conscience des impacts, des ruptures et que seule la communication peut lever les voiles des secrets, des illusions… aller à la rencontre de l’autre n’est pas toujours simple… prendre le temps de goûter ce qui nous arriver, de le mesurer…
J’ai eu beaucoup de plaisir à lire ce livre, je ne peux que vous le conseiller
Par contre mon amie a détesté… à vous de voir (mais bon vous ne connaissez pas mon amie [elle a des goûts de chiots !!!])