Contes hassidiques
Quatrième de couverture :
"Chez nous, dans la région de Kiev, il n'est pas de maison dans violons ! Vous voulez savoir combien il y a d'hommes dans une famille ? Regardez les murs et comptez les violons qui y sont accrochés ; tant de violons, tant d'hommes ! Tous jouent, le grand-père, le père, le fils... Il est regrettable pourtant que chaque génération joue ses propres airs sans s'inquiéter des autres... Or, si une mélodie vit, elle peut aussi mourir. Autrefois jeune et pleine d'entrain, peu à peu elle s'affaiblit, ses forces l'ont quittée, elle n'est plus... Puis soudain elle ressuscite..."
Et voici donc un des plus beaux et des plus célèbres contes de Peretz, l'histoire de la mélodie composée pour un mariage par un pauvre violoniste et qui au fil du temps, se métamorphose, passe les frontières survole les campagnes, les villes en aidant à mieux vivre tous ceux qui l'entendent
Voici l'histoire de ce coquin de Mendel qui rend visite à ce vieux grigou de Rez Ooza et sait très habilemnet lui soutirer une dot pour sa fille
Voici le chaleureux Rabbi de Biala qui refuse les prescriprtions trop sévères de la religion pour faire chanter et danser ses hassidim - le hassidim prônant qu'on prie d'abord avec son corps. Voici donc ces merveilleux contes hauts en couleur, plein d'émotions et d'humour enfin réédités.
Mon avis : Volodia
Il peut être particulièrement ardu pour des personnes ne relevant pas de cette culture de comprendre et de nous suivre à l'intérieur de chaque shettle ,(villages juifs d'Europe de l'Est vivant en vase clos et en complète autarcie, non par choix mais bien souvent par obligation) ou toute la vie de chacun est rythmée par la thora, le talmud et/ou chaque geste et acte de la vie sont dictés par la religion Dans chacune des nouvelles de ce livre, qui peuvent être comprises de plusieus façons, la meilleure reste celle qui nous rapproche de Dieu.
Je me souviens qu'enfant j'avais demandé à mon arrière grand-père pourquoi le peuple juif jouait essentiellement du violon. Il m'a répondu "... En cas de progrom c'est ce qu'il y a de plus facile à emporter, et une des seules richesses qui lui est laissée..."
Quatrième de couverture :
"Chez nous, dans la région de Kiev, il n'est pas de maison dans violons ! Vous voulez savoir combien il y a d'hommes dans une famille ? Regardez les murs et comptez les violons qui y sont accrochés ; tant de violons, tant d'hommes ! Tous jouent, le grand-père, le père, le fils... Il est regrettable pourtant que chaque génération joue ses propres airs sans s'inquiéter des autres... Or, si une mélodie vit, elle peut aussi mourir. Autrefois jeune et pleine d'entrain, peu à peu elle s'affaiblit, ses forces l'ont quittée, elle n'est plus... Puis soudain elle ressuscite..."
Et voici donc un des plus beaux et des plus célèbres contes de Peretz, l'histoire de la mélodie composée pour un mariage par un pauvre violoniste et qui au fil du temps, se métamorphose, passe les frontières survole les campagnes, les villes en aidant à mieux vivre tous ceux qui l'entendent
Voici l'histoire de ce coquin de Mendel qui rend visite à ce vieux grigou de Rez Ooza et sait très habilemnet lui soutirer une dot pour sa fille
Voici le chaleureux Rabbi de Biala qui refuse les prescriprtions trop sévères de la religion pour faire chanter et danser ses hassidim - le hassidim prônant qu'on prie d'abord avec son corps. Voici donc ces merveilleux contes hauts en couleur, plein d'émotions et d'humour enfin réédités.
Mon avis : Volodia
Il peut être particulièrement ardu pour des personnes ne relevant pas de cette culture de comprendre et de nous suivre à l'intérieur de chaque shettle ,(villages juifs d'Europe de l'Est vivant en vase clos et en complète autarcie, non par choix mais bien souvent par obligation) ou toute la vie de chacun est rythmée par la thora, le talmud et/ou chaque geste et acte de la vie sont dictés par la religion Dans chacune des nouvelles de ce livre, qui peuvent être comprises de plusieus façons, la meilleure reste celle qui nous rapproche de Dieu.
Je me souviens qu'enfant j'avais demandé à mon arrière grand-père pourquoi le peuple juif jouait essentiellement du violon. Il m'a répondu "... En cas de progrom c'est ce qu'il y a de plus facile à emporter, et une des seules richesses qui lui est laissée..."