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Genre littéraire : Policier
Titre : Choke
Auteur : Chuck Palahniuk
Nombre de pages : 383
Editeur : Gallimard
Présentation de l’éditeur :
Victor Mancini est figurant dans un " musée vivant " où le moindre anachronisme est puni par la mise au pilori avec suspension de salaire. Il est sexoolique, drogué du sexe en thérapie verbale, incapable d'aimer. Son meilleur ami se promène avec des cailloux enroulés dans des couvertures et sa mère, folle à lier, le ruine sans jamais reconnaître en lui le fils dont elle a ravagé l'enfance... Pour quelles raisons ? Où se niche véritablement la folie ? Pourquoi Victor continue-t-il de se faire vomir publiquement dans des restaurants chics et qui saura lui révéler l'incroyable secret de sa naissance ? Un livre de Palahniuk ne se résume pas, c'est déjanté, subversif et incroyablement lucide.
Mon appréciation :
Il faut entrer dans l’univers complètement taré et déjanté de l’auteur. Personnellement, j’ai n’ai vraiment pas adhéré à cet univers de folie permanente, de discours dingos où personne ne se parle mais où tout le monde suit son propre dialogue.
C’est de la folie pure, du remplissage de pages pour arriver à près de 400 pages où le lecteur se demande encore pourquoi il n’a pas lâché prise avant.
Autant j’ai aimé de cet auteur Fight-Club, que là je suis plus que déçu du très désagréable moment que j’ai passé.
C’est cru, sans queue ni tête. La fin est prévisible. Aucun effet de surprise, si ce n’est qu’on est surpris soit même d’avoir terminé et de reprendre enfin une vie normale dans un univers sain et non un hôpital psychiatrique.
Bref, pour public averti et les inconditionnels de cet auteur.
Quant aux autres, passez votre chemin
Note : 0/10
Titre : Choke
Auteur : Chuck Palahniuk
Nombre de pages : 383
Editeur : Gallimard
Présentation de l’éditeur :
Victor Mancini est figurant dans un " musée vivant " où le moindre anachronisme est puni par la mise au pilori avec suspension de salaire. Il est sexoolique, drogué du sexe en thérapie verbale, incapable d'aimer. Son meilleur ami se promène avec des cailloux enroulés dans des couvertures et sa mère, folle à lier, le ruine sans jamais reconnaître en lui le fils dont elle a ravagé l'enfance... Pour quelles raisons ? Où se niche véritablement la folie ? Pourquoi Victor continue-t-il de se faire vomir publiquement dans des restaurants chics et qui saura lui révéler l'incroyable secret de sa naissance ? Un livre de Palahniuk ne se résume pas, c'est déjanté, subversif et incroyablement lucide.
Mon appréciation :
Il faut entrer dans l’univers complètement taré et déjanté de l’auteur. Personnellement, j’ai n’ai vraiment pas adhéré à cet univers de folie permanente, de discours dingos où personne ne se parle mais où tout le monde suit son propre dialogue.
C’est de la folie pure, du remplissage de pages pour arriver à près de 400 pages où le lecteur se demande encore pourquoi il n’a pas lâché prise avant.
Autant j’ai aimé de cet auteur Fight-Club, que là je suis plus que déçu du très désagréable moment que j’ai passé.
C’est cru, sans queue ni tête. La fin est prévisible. Aucun effet de surprise, si ce n’est qu’on est surpris soit même d’avoir terminé et de reprendre enfin une vie normale dans un univers sain et non un hôpital psychiatrique.
Bref, pour public averti et les inconditionnels de cet auteur.
Quant aux autres, passez votre chemin
Note : 0/10
Résumé : Madison, 13 ans, est la fille d’une star du cinéma et d’un producteur milliardaire. Élevée dans la religion du fun et de la culture pop, elle passe un Noël ennuyeux seule dans son pensionnat en Suisse, tandis que ses parents se consacrent à leurs projets professionnels et à l’adoption d’orphelins du tiers-monde. Mais un événement inattendu va venir illuminer ses vacances : sa mort subite. Débarquée en enfer, elle y fait la connaissance d’une bande de jeunes marginaux, une jolie fille, un sportif, un geek et un rocker, soit la version Six Feet Under de Breakfast Club. Alors qu’elle se lance dans l’exploration de ce nouvel environnement, qui lui réserve de multiples surprises, Madison se remémore sa courte existence pour essayer de comprendre ce qui a bien pu la mener à la damnation. Pour découvrir, aussi, les raisons de sa mort.