Genre littéraire : Roman classique
Titre : La portrait de Dorian Gray
Auteur : Oscar Wilde
Nombre de pages : 285
Editeur : Le livre de Poche
Résumé
«Au centre de la pièce, fixé à un chevalet droit, se dressait le portrait en pied d'un jeune homme d'une extraordinaire beauté physique, devant lequel, à peu de distance, se tenait assis le peintre lui-même, Basil Hallward, celui dont, il y a quelques années, la disparition soudaine a, sur le moment, tant ému le public et donné lieu à d'étranges conjectures.»
Or Dorian Gray, jeune dandy séducteur et mondain, a fait ce voeu insensé : garder toujours l'éclat de sa beauté, tandis que le visage peint sur la toile assumerait le fardeau de ses passions et de ses péchés. Et de fait, seul vieillit le portrait où se peint l'âme noire de Dorian qui, bien plus tard, dira au peintre : «Chacun de nous porte en soi le ciel et l'enfer.»
Et ce livre lui-même est double : il nous conduit dans un Londres lugubre et louche, noyé dans le brouillard et les vapeurs d'opium, mais nous ouvre également la comédie de salon des beaux quartiers. Lorsqu'il parut, en 1890, il fut considéré comme immoral. Mais sa singularité, bien plutôt, est d'être un roman réaliste, tout ensemble, et un roman d'esthète - fascinants, l'un et l'autre, d'une étrangeté qui touche au fantastique.
Mon appréciation
Je referme le livre avec une drôle d’impression. J’ai aimé et pas aimé à la fois. Les 2/3 du livres me semblent inutiles, fastidieux à la lecture et très lent. Il faut attendre la moitié du roman pour entrer dans le vif du sujet mais c’est de courte durée. Le lecteur doit patienter encore jusqu’au dernier tiers pour que tout s’enchaîne et pour que le récit retienne toute l’attention du lecteur.
Beaucoup de discours et d’idées philosophiques sur la liberté du plaisir sans limite qui endorment le lecteur et qui malheureusement ne retiennent en rien son attention. Bref, truffés de références littéraires, ces réflexions n’apportent pas grand-chose à l’intrigue si ce n’est qu’elles ralentissent le rythme du roman. Ennuyeuses à mourir j’ai même failli abandonner à un moment la lecture. J’ai bien fait de continuer car la chute et la fin de l’histoire rattrapent largement la note de l’histoire
Ma note : 5/10
Titre : La portrait de Dorian Gray
Auteur : Oscar Wilde
Nombre de pages : 285
Editeur : Le livre de Poche
Résumé
«Au centre de la pièce, fixé à un chevalet droit, se dressait le portrait en pied d'un jeune homme d'une extraordinaire beauté physique, devant lequel, à peu de distance, se tenait assis le peintre lui-même, Basil Hallward, celui dont, il y a quelques années, la disparition soudaine a, sur le moment, tant ému le public et donné lieu à d'étranges conjectures.»
Or Dorian Gray, jeune dandy séducteur et mondain, a fait ce voeu insensé : garder toujours l'éclat de sa beauté, tandis que le visage peint sur la toile assumerait le fardeau de ses passions et de ses péchés. Et de fait, seul vieillit le portrait où se peint l'âme noire de Dorian qui, bien plus tard, dira au peintre : «Chacun de nous porte en soi le ciel et l'enfer.»
Et ce livre lui-même est double : il nous conduit dans un Londres lugubre et louche, noyé dans le brouillard et les vapeurs d'opium, mais nous ouvre également la comédie de salon des beaux quartiers. Lorsqu'il parut, en 1890, il fut considéré comme immoral. Mais sa singularité, bien plutôt, est d'être un roman réaliste, tout ensemble, et un roman d'esthète - fascinants, l'un et l'autre, d'une étrangeté qui touche au fantastique.
Mon appréciation
Je referme le livre avec une drôle d’impression. J’ai aimé et pas aimé à la fois. Les 2/3 du livres me semblent inutiles, fastidieux à la lecture et très lent. Il faut attendre la moitié du roman pour entrer dans le vif du sujet mais c’est de courte durée. Le lecteur doit patienter encore jusqu’au dernier tiers pour que tout s’enchaîne et pour que le récit retienne toute l’attention du lecteur.
Beaucoup de discours et d’idées philosophiques sur la liberté du plaisir sans limite qui endorment le lecteur et qui malheureusement ne retiennent en rien son attention. Bref, truffés de références littéraires, ces réflexions n’apportent pas grand-chose à l’intrigue si ce n’est qu’elles ralentissent le rythme du roman. Ennuyeuses à mourir j’ai même failli abandonner à un moment la lecture. J’ai bien fait de continuer car la chute et la fin de l’histoire rattrapent largement la note de l’histoire
Ma note : 5/10