Le soliste
Roman
218 pages édité en janvier 2007 chez Ramsay (réedité depuis et paru cette année en livre de poche)
Résumé
Portosera.
Le quartier populaire de l'avenue de Naples. Au numéro 24 de la rue de
la Capitainerie se dresse un gigantesque paquebot urbain où se croisent
jeunes couples désargentés, ouvriers, cadres moyens, retraités et petits
commerçants.
La polyphonie de la vie passe sans avoir l'air de vouloir changer. À moins que.
-
l'heure où, sur la façade ocre, s'éclairent peu à peu les fenêtres, une
seule, obstinément, reste obscure. Dans l'ombre, un homme regarde vivre
ses voisins qu'il ne veut pas connaître.
Et pourtant, il s'apprête à bouleverser leur existence.
Il devra bien s'apercevoir alors qu'on n'échappe jamais au monde.
Dans
ce deuxième roman, jean-François Dauven retrouve la ville fictive qu'il
avait magistralement mise en scène dans Le manuscrit de Portosera la
rouge (Ramsay, 2006), toujours aussi foisonnante, belle,
méditerranéenne, et en poursuit l'exploration minutieuse.
Mon avis
Ce
n'est pas une grande histoire avec des cascades ou des rebondissements,
avec des héros, des meurtres... C'est une histoire simple qui permet
d'aller à la rencontre d'autres personnes.
Le lecteur découvre et
suit dans leur intimité, la vie des personnes qui habitent un même
immeuble ou qui partage le même quartier. Portraits et-tranches de vie,
espoir, départ, bonheur, peur, crainte... bref tout ce qui fait la vie
de tous les jours. C'est un livre où il se dégage une certaine sérénité
de la vie.
Le lecteur devient le voyeur comme cet homme qui
regarde vivre ses voisins. d'ailleurs, que ce soit dans son fauteuil,
dans son canapé ou son lit, le lecteur n'est-il pas voyeur ?
A lire pour sa quiétude
Roman
218 pages édité en janvier 2007 chez Ramsay (réedité depuis et paru cette année en livre de poche)
Résumé
Portosera.
Le quartier populaire de l'avenue de Naples. Au numéro 24 de la rue de
la Capitainerie se dresse un gigantesque paquebot urbain où se croisent
jeunes couples désargentés, ouvriers, cadres moyens, retraités et petits
commerçants.
La polyphonie de la vie passe sans avoir l'air de vouloir changer. À moins que.
-
l'heure où, sur la façade ocre, s'éclairent peu à peu les fenêtres, une
seule, obstinément, reste obscure. Dans l'ombre, un homme regarde vivre
ses voisins qu'il ne veut pas connaître.
Et pourtant, il s'apprête à bouleverser leur existence.
Il devra bien s'apercevoir alors qu'on n'échappe jamais au monde.
Dans
ce deuxième roman, jean-François Dauven retrouve la ville fictive qu'il
avait magistralement mise en scène dans Le manuscrit de Portosera la
rouge (Ramsay, 2006), toujours aussi foisonnante, belle,
méditerranéenne, et en poursuit l'exploration minutieuse.
Mon avis
Ce
n'est pas une grande histoire avec des cascades ou des rebondissements,
avec des héros, des meurtres... C'est une histoire simple qui permet
d'aller à la rencontre d'autres personnes.
Le lecteur découvre et
suit dans leur intimité, la vie des personnes qui habitent un même
immeuble ou qui partage le même quartier. Portraits et-tranches de vie,
espoir, départ, bonheur, peur, crainte... bref tout ce qui fait la vie
de tous les jours. C'est un livre où il se dégage une certaine sérénité
de la vie.
Le lecteur devient le voyeur comme cet homme qui
regarde vivre ses voisins. d'ailleurs, que ce soit dans son fauteuil,
dans son canapé ou son lit, le lecteur n'est-il pas voyeur ?
A lire pour sa quiétude