Ariella KORNMEHL
Le mois des papillons
210 pages
Résumé :
Présentation de l'éditeur
Joni, la narratrice de ce roman, est médecin. Après un grave traumatisme affectif, elle quitte l'Europe et choisit l'Afrique du Sud pour s'éloigner à jamais des siens. Là, elle trouve un poste aux urgences d'un hôpital de Johannesburg et s'installe dans une villa à l'extérieur de la ville. Dès son arrivée dans cette maison, Zanele, une femme zouloue, s'impose auprès d'elle en tant que gouvernante. Ainsi, dans ce pays où les haines raciales sont encore d'une extrême violence, les deux femmes apprennent à vivre ensemble. Curieuses l'une de l'autre, elles partagent une véritable intimité, une complicité qui cesse néanmoins dès qu'elles quittent la maison, car sous le regard des autres Zanele ne connaît plus Joni. Entre ses services à l'hôpital, face aux plus dures réalités de la société sud-africaine, les risques qu'elle court au volant de sa voiture et ses longues nuits d'insomnie, Joni mesure sa solitude. Pourtant, avec Zancle et ses enfants, elle a parfois l'illusion de former une étrange famille et, l'espace d'un instant, dans la lumière du mois des papillons, alors que le jardin s'éclaire d'une pluie merveilleusement fleurie, elle peut se croire réconciliée avec la vie. Mais le "Dieu de l'Afrique" en a décidé autrement... Oeuvre singulière d'une force peu commune, Le Mois des papillons semble de prime abord nous entraîner clans un huis clos intimiste propice aux confidences sentimentales. Mais c'est pour mieux nous confronter, avec un réalisme sans concession, à l'impitoyable rigueur de l'ordre du monde.
Biographie de l'auteur
Le Mois des papillons est le second roman d'Ariëlla Kornmehl. Née en 1975, elle vit et travaille ù Amsterdam, où elle a fait des éludes de philosophie. Elle a passé deux ans à Johannesburg. (source Ama***)
Mon avis :
J'ai bien aimé ce roman qui fait découvrir l'apartheid, mais aussi les différences qui existent encore, hélas, entre Blancs et Noirs. Les Blancs sont encore très mal vus en Afrique du Sud dans ce livre car considérés comme impurs. Il faut espérer que les mentalités ont évolué. Intéressant de voir le racisme des Noirs envers les Blancs, d'habitude on nous montre le contraire. Il y a aussi une histoire très émouvante entre Joni et son hôte. Un seul regret, la fin ouverte !
Le mois des papillons
210 pages
Résumé :
Présentation de l'éditeur
Joni, la narratrice de ce roman, est médecin. Après un grave traumatisme affectif, elle quitte l'Europe et choisit l'Afrique du Sud pour s'éloigner à jamais des siens. Là, elle trouve un poste aux urgences d'un hôpital de Johannesburg et s'installe dans une villa à l'extérieur de la ville. Dès son arrivée dans cette maison, Zanele, une femme zouloue, s'impose auprès d'elle en tant que gouvernante. Ainsi, dans ce pays où les haines raciales sont encore d'une extrême violence, les deux femmes apprennent à vivre ensemble. Curieuses l'une de l'autre, elles partagent une véritable intimité, une complicité qui cesse néanmoins dès qu'elles quittent la maison, car sous le regard des autres Zanele ne connaît plus Joni. Entre ses services à l'hôpital, face aux plus dures réalités de la société sud-africaine, les risques qu'elle court au volant de sa voiture et ses longues nuits d'insomnie, Joni mesure sa solitude. Pourtant, avec Zancle et ses enfants, elle a parfois l'illusion de former une étrange famille et, l'espace d'un instant, dans la lumière du mois des papillons, alors que le jardin s'éclaire d'une pluie merveilleusement fleurie, elle peut se croire réconciliée avec la vie. Mais le "Dieu de l'Afrique" en a décidé autrement... Oeuvre singulière d'une force peu commune, Le Mois des papillons semble de prime abord nous entraîner clans un huis clos intimiste propice aux confidences sentimentales. Mais c'est pour mieux nous confronter, avec un réalisme sans concession, à l'impitoyable rigueur de l'ordre du monde.
Biographie de l'auteur
Le Mois des papillons est le second roman d'Ariëlla Kornmehl. Née en 1975, elle vit et travaille ù Amsterdam, où elle a fait des éludes de philosophie. Elle a passé deux ans à Johannesburg. (source Ama***)
Mon avis :
J'ai bien aimé ce roman qui fait découvrir l'apartheid, mais aussi les différences qui existent encore, hélas, entre Blancs et Noirs. Les Blancs sont encore très mal vus en Afrique du Sud dans ce livre car considérés comme impurs. Il faut espérer que les mentalités ont évolué. Intéressant de voir le racisme des Noirs envers les Blancs, d'habitude on nous montre le contraire. Il y a aussi une histoire très émouvante entre Joni et son hôte. Un seul regret, la fin ouverte !