ÉLÉMENTAIRE MA CHÈRE SARAH
Policier
416 pages édité au livre de poche en mars 2008
Résumé
Rio de Janeiro, 1886. Appelé à la rescousse par son amie Sarah Bernhardt, en tournée dans le pays, Sherlock Holmes, flanqué de l'inévitable Watson, débarque au Brésil pour tirer au clair une mystérieuse affaire : on a dérobé le stradivarius que l'empereur avait offert à l'une de ses maîtresses. Sherlock se lance sur la piste du voleur, mais sa rencontre avec une enivrante métisse et les effets conjugués du cannabis et de la cuisine locale lui font bientôt perdre ses capacités de déduction. Alors que plusieurs jeunes femmes sont sauvagement assassinées, notre héros se trouve plongé dans un brouillard plus épais que le fog londonien. Dans cette fantaisie comico-policière débridée, l'auteur recrée avec bonheur l'atmosphère du Brésil de la fin du XIXe, où le snobisme francophile en vogue dans les salons offre un contrepoint désopilant au portrait iconoclaste d'un Sherlock Holmes loufoque, plus proche de Billy Wilder que de Conan Doyle
Biographie de l'auteur : Né à Rio de Janeiro, en 1983, auteur dramatique, comédien, humoriste et animateur d'émissions télévisées, Jô Soares est un e véritable star dans son pays. Elémentaire, ma chère Sarah ! est son premier roman. Il s'est vendu à plus de 350 000 exemplaires au Brésil et a été traduit dans six pays
Mon ressenti
Voilà un polar qui rabiboche avec le genre : en plus d’une ballade dans le 19ème siècle à découvrir Rio et ses méandres, c’est un autre Sherlock Holmes que j’ai découvert. Appelé par l’empereur pour enquêter sur la disparition d’un violon et pas n’importe lequel, il débarque à Rio avec son fidèle compagnon Watson. Ils vont retrouvé Sarah Bernhardt, grande figure de l’époque.
C’est avec un grand plaisir non dissimulé que j’ai suivi cette enquête, de trouver un Sherlock tout retourné car amoureux : il devient pour la première fois tout transit et découvre peut être le plaisir, ce qui fait qu’il n’est pas spécialement à la hauteur de sa réputation et c’est une jeune femme qui parfois lui coupe l’herbe sous le pied.
Tourné en ridicule par l’assassin (une identité possible d’un triste personnage de l’époque, Jack l’éventreur) puisqu’il est incapable de trouver la signification des indices laissés sur le lieu… bref, il est un homme ordinaire et touchant. Accompagné d’un Watson, bougon, qui est toujours à la traîne car il ne comprend pas la langue et ne supporte pas le climat.
L’auteur nous conte une histoire sympathique, agréable à lire et drôle. Il montre un Brésil tout en demi-teinte avec de vrais documents de l’époque et des personnalités qui ont marqué Rio. C’est un très bon mélange de vrais et de faux, de réalité d’époque et romances…
A découvrir
Un grand merci à Bernard pour la découverte de ce livre
Policier
416 pages édité au livre de poche en mars 2008
Résumé
Rio de Janeiro, 1886. Appelé à la rescousse par son amie Sarah Bernhardt, en tournée dans le pays, Sherlock Holmes, flanqué de l'inévitable Watson, débarque au Brésil pour tirer au clair une mystérieuse affaire : on a dérobé le stradivarius que l'empereur avait offert à l'une de ses maîtresses. Sherlock se lance sur la piste du voleur, mais sa rencontre avec une enivrante métisse et les effets conjugués du cannabis et de la cuisine locale lui font bientôt perdre ses capacités de déduction. Alors que plusieurs jeunes femmes sont sauvagement assassinées, notre héros se trouve plongé dans un brouillard plus épais que le fog londonien. Dans cette fantaisie comico-policière débridée, l'auteur recrée avec bonheur l'atmosphère du Brésil de la fin du XIXe, où le snobisme francophile en vogue dans les salons offre un contrepoint désopilant au portrait iconoclaste d'un Sherlock Holmes loufoque, plus proche de Billy Wilder que de Conan Doyle
Biographie de l'auteur : Né à Rio de Janeiro, en 1983, auteur dramatique, comédien, humoriste et animateur d'émissions télévisées, Jô Soares est un e véritable star dans son pays. Elémentaire, ma chère Sarah ! est son premier roman. Il s'est vendu à plus de 350 000 exemplaires au Brésil et a été traduit dans six pays
Mon ressenti
Voilà un polar qui rabiboche avec le genre : en plus d’une ballade dans le 19ème siècle à découvrir Rio et ses méandres, c’est un autre Sherlock Holmes que j’ai découvert. Appelé par l’empereur pour enquêter sur la disparition d’un violon et pas n’importe lequel, il débarque à Rio avec son fidèle compagnon Watson. Ils vont retrouvé Sarah Bernhardt, grande figure de l’époque.
C’est avec un grand plaisir non dissimulé que j’ai suivi cette enquête, de trouver un Sherlock tout retourné car amoureux : il devient pour la première fois tout transit et découvre peut être le plaisir, ce qui fait qu’il n’est pas spécialement à la hauteur de sa réputation et c’est une jeune femme qui parfois lui coupe l’herbe sous le pied.
Tourné en ridicule par l’assassin (une identité possible d’un triste personnage de l’époque, Jack l’éventreur) puisqu’il est incapable de trouver la signification des indices laissés sur le lieu… bref, il est un homme ordinaire et touchant. Accompagné d’un Watson, bougon, qui est toujours à la traîne car il ne comprend pas la langue et ne supporte pas le climat.
L’auteur nous conte une histoire sympathique, agréable à lire et drôle. Il montre un Brésil tout en demi-teinte avec de vrais documents de l’époque et des personnalités qui ont marqué Rio. C’est un très bon mélange de vrais et de faux, de réalité d’époque et romances…
A découvrir
Un grand merci à Bernard pour la découverte de ce livre