Le scorpion
Résumé :
L'histoire débute à Rome au XIIIème siècle. Dans l'ombre, le Cardinal Trébaldi met en place les derniers éléments du plan qui lui permettra d'assouvir sa soif de pouvoir. Pendant ce temps, le Scorpion mène une vie insousciante et libre, passant la moitié de son temps à piller les tombes de saints catholiques (ce qui lui vaut quelques rencontres avec la garde) pour ensuite revendre à prix d'or ces reliques, et l'autre moitié à prendre du bon temps auprès de jolies femmes. Tout irait bien (enfin presque) si le Scorpion ne s'avérait pas être une gêne potentielle pour le bon déroulement du projet du Cardinal. Trébaldi confie alors l'élimination du Scorpion à une empoisonneuse gitane, la belle et froide Méjaï.
Pour le reste lisez les BD, je ne voudrais pas spoiler.
Mon avis :
Mon avatar est tiré de cette Bd, je ne peux pas m’empêcher d'être obséquieux et de faire une grande éloge de cette Bande dessinée... Après tout "mon avis" c'est subjectif donc allons-y : Cette bande dessinée allie tout ce que j'aime. L'histoire puisque cela se déroule au 18ème siècle, le coté "cape et épées" (je suis un grand fan d'Alexandre Dumas, de Zorro, du Bossu...) le suspense, des idées véhiculés...
Le scénario de Desberg est construit comme celui d'un grand thriller. Les péripéties s’enchaîne bien et les rebondissements sont nombreux.
Cette bande dessinée est mon idéal, et j'adule le héros Armando Catalano alias le Scorpion. Pour la petite histoire c'est le nom de l'acteur qui jouait zorro dans la vieille série américaine de Disney, la meilleure version selon moi encore.
Pour achever le tout, j'aime beaucoup les dessins de monsieur Marini. C'est coloré, plutôt réaliste et agréable à l'oeil. Alors autant vous dire que toutes les BD du Scorpion sont en tête de Gondole dans ma bibliothèque. D'ailleurs la série à l'air de bien marcher en général parce qu'à la Fnac de ma ville je l'ai souvent vu mise en avant !
Ceux qui aiment le genre de Cape et d’Épées ne seront pas déçus ! Avis aux amateurs.