La chute
Éditions Gallimard de 1956, 152 pages
Éditions Gallimard de 1956, 152 pages
Quatrième de couverture :
Dans un bourg d'Amsterdam où se croisent matelos de toutes nations, souteneurs, prostituées et voleurs, un homme que le hasard a mis sur le chemin de l'un de ses compatriotes, se raconte. Qui est-il ? C'est la source de cet admirable monologue, où Jean-Baptiste Clamence retrace le parcours autrefois brillant de son existence. Jusqu'au jour où différents évènements ruinent les derniers vestiges de sa normalité existentielle. Il fuit dans la débauche ce qu'il découvre tous les jours un peu plus. Fuir l'hypocrisie des coeurs, de la charité, de la solidarité, l'hypocrisie du monde, fuir cette existence fausse où le plaisir personnel décide des actes les plus beaux. Il part alors pour la cosmopolite Amsterdam et s'y institue " juge pénitent " pour dénoncer l'ignominie humaine.
Mon avis :
La Chute, est un un récit à la 2e personne ,sur les hommes et le désenchantement, avec un contenu et un style extrêmement travaillés.
Le héros, Jean-Baptiste Clamence, est un personnage à la fois inquiétant et attachant.
Néanmoins, j'ai trouvé le début soigné, mais moins à la fin.
C'est malgré tout un livre intéressant, de par sa forme et par l'impact que laisse sa lecture.
Le héros, Jean-Baptiste Clamence, est un personnage à la fois inquiétant et attachant.
Néanmoins, j'ai trouvé le début soigné, mais moins à la fin.
C'est malgré tout un livre intéressant, de par sa forme et par l'impact que laisse sa lecture.