édition Pika - 190 pages.
Mon résumé :
Keitaro vient de rater pour la deuxième fois l'examen d'entrée à la prestigieuse université de Todai. Il ne l'a pas raté de peu, non, il l'a raté de loin, de très très loin même. Désespéré, il pense trouver refuge chez sa grand-mère, sauf que celle-ci est parti en vacances (très prolongée) et que son hotel est devenu une pension pour jeunes filles. Le voilà nommé gérant de la pension par sa grand-mère, au grand dam de Naru, Mitsune, Sû, Motoko et Shinobu, les cinq pensionnaires.
Mon avis :
En lisant ce manga, je me suis dit : mais ce n'est pas possible qu'un garçon soit aussi gaffeur ! Et bien si, c'est possible. Il les accumule, pour mieux dire, il les entasse. Gaffer est un travail à plein temps pour ce garçon.
Il faut dire qu'il évolue en milieu hostile : il est entouré par cinq jeunes filles, et je ne compte même pas sa tante, ancienne gérante de la pension. Certains trouveraient sa situation rêvée, je me demande bien qui. D'un côté, le pauvre Keitaro ne sait plus quoi faire pour se faire pardonner ses bourdes involontaires (et elles sont vraiment énormes et involontaires), de l'autre, il doit affronter cinq charmantes jeunes filles, prêtes à lui rendre la vie dure. Une certitude : ce charmant jeune homme n'a pas eu de soeurs, sinon il aurait évité quelques unes de ses gaffes, surtout envers la plus jeune des pensionnaires. Je vous le dis : il y a des claques qui se perdent. Ah, non, pardon : les autres filles se chargent très bien de son compte. S'il ne réussit pas à entrer à Todai, et à honorer ainsi une promesse faite quinze ans plus tôt, il pourra toujours écrire un guide de survie en territoire ennemi.
Ce manga est différent de ceux que j'ai découverts jusqu'à présent (Monster, Pluto, Bride stories ou What's Michael pour citer mes préférés). Il est léger, drôle, le graphisme est plus simple - pas au point d'être simpliste néanmoins. Il apporte un bon moment de détente, mais rien de plus. J'ai emprunté le tome 2, mais je ne pense pas aller plus loin dans la série.
Mon résumé :
Keitaro vient de rater pour la deuxième fois l'examen d'entrée à la prestigieuse université de Todai. Il ne l'a pas raté de peu, non, il l'a raté de loin, de très très loin même. Désespéré, il pense trouver refuge chez sa grand-mère, sauf que celle-ci est parti en vacances (très prolongée) et que son hotel est devenu une pension pour jeunes filles. Le voilà nommé gérant de la pension par sa grand-mère, au grand dam de Naru, Mitsune, Sû, Motoko et Shinobu, les cinq pensionnaires.
Mon avis :
En lisant ce manga, je me suis dit : mais ce n'est pas possible qu'un garçon soit aussi gaffeur ! Et bien si, c'est possible. Il les accumule, pour mieux dire, il les entasse. Gaffer est un travail à plein temps pour ce garçon.
Il faut dire qu'il évolue en milieu hostile : il est entouré par cinq jeunes filles, et je ne compte même pas sa tante, ancienne gérante de la pension. Certains trouveraient sa situation rêvée, je me demande bien qui. D'un côté, le pauvre Keitaro ne sait plus quoi faire pour se faire pardonner ses bourdes involontaires (et elles sont vraiment énormes et involontaires), de l'autre, il doit affronter cinq charmantes jeunes filles, prêtes à lui rendre la vie dure. Une certitude : ce charmant jeune homme n'a pas eu de soeurs, sinon il aurait évité quelques unes de ses gaffes, surtout envers la plus jeune des pensionnaires. Je vous le dis : il y a des claques qui se perdent. Ah, non, pardon : les autres filles se chargent très bien de son compte. S'il ne réussit pas à entrer à Todai, et à honorer ainsi une promesse faite quinze ans plus tôt, il pourra toujours écrire un guide de survie en territoire ennemi.
Ce manga est différent de ceux que j'ai découverts jusqu'à présent (Monster, Pluto, Bride stories ou What's Michael pour citer mes préférés). Il est léger, drôle, le graphisme est plus simple - pas au point d'être simpliste néanmoins. Il apporte un bon moment de détente, mais rien de plus. J'ai emprunté le tome 2, mais je ne pense pas aller plus loin dans la série.