Edition Puffin - 131 pages.
Mon résumé :
A New York, Les Little accueillent leur deuxième fils. Stuart se révèle très différent de son frère ainé, George, il a tout d'une souris, si ce n'est qu'il parle, marche, s'habille comme un humain ordinaire (mais plus rapidement tout de même). Et la vie n'est pas toujours facile quand on est une souris dans un monde d'hommes.
Anecdote :
EB White a eu l'idée de ce livre après avoir rêvé d'un jeune garçon qui se comportait comme une souris.
Mon avis :
Ne lisez pas le résumé de l'éditeur : il vous raconte toute l'histoire. Regardez le film, oui, éventuellement : il est assez fidèle, mais comporte tout de même de grandes différences, ne serait-ce que dans le dénouement. Le film est loin d'être mauvais, je préfère nettement le livre.
J'ai été étonnée à la vitesse à laquelle je l'ai lu, bien que j'ai choisi la version anglaise. Stuart est immédiatement attachant, par ses différences, certes, mais surtout par sa volonté qu'il a et qu'il partage avec sa famille de mener la vie la plus normale possible.
Le style est agréable, plein d'humour, et légèrement décalé. Les morceaux de bravoure sont nombreux, mon préféré reste le sauvetage de Stuart par Margallo. New York, à hauteur de souris, est une ville plus dangereuse qu'agréable.
Ce n'est plus un Stuart enfant que nous suivons (et qui permet de réaliser un 2 et un 3) mais un Stuart adulte que nous trouvons dès le dernier tiers de ce récit, prêt à prendre sa vie en main, même si cela signifie quitter sa famille pour chercher celle qu'il aime.
Stuart little est un classique de la littérature jeunesse, à faire découvrir aux plus jeunes.