LES OCÉANS DU CIEL
SF
188 pages édité en 1967 au fleuve noir, réédité aux éditions poches….
Résumé de l’édition livre de poche
Être Tiphaine, commandant d'un spationef corsaire, et se retrouver aux prises avec Roland 42, tueur professionnel, à la suite d'une banale querelle de salon, ce n'est déjà pas de tout repos.
Mais se voir ensuite proposer l'oubli de cette peccadille en échange d'une mission ultra-secrète et dangereuse entre Arcturus et Denebola du Lion et accepter par force, c'est aggraver son cas.
C'est bien ce que pense l'équipage du Fulgurant, pourtant aguerri, voire boucané, surtout lorsque le navire se trouve pris au piège d'un champ magnétique qui l'attire irrésistiblement vers Eralbée la Rouge.
Il ne leur reste plus qu'à faire face, sans doute à la mort, sûrement aux Deneboliens.
Et enfin aux femmes de Silaris...
Un space opera comme on n'en fait plus, cousu main par Kurt Steiner, alias André Ruellan, le légendaire auteur de Tunnel, du Disque rayé, des Ortog, des Enfants de l'Histoire et de dizaines d'autres romans de science-fiction et de fantastique.
Mon ressenti
Une histoire de gendarmes et de voleurs, de méchants et de gentils qui est certes classique mais qu’est-ce que cela fait du bien parfois dans notre monde à la va vite. L’auteur plante son décor dans l’espace où des personnages haut en couleur sont dépeints avec sensibilité pour notre plus grand plaisir, sans oublié les nombreux insectes géants, qui rappellent qu’au début de la SF, cela faisait peur… Temps héroïques dépassés aujourd’hui…
Quatre corsaires sont employés par le gouvernement en place pour enquêter sur la disparition de plusieurs vaisseaux. Si au début de l’histoire, les personnages semblent être des brutes typiques (3 hommes et une femme), petit à petit, leur personnalité se dévoile pour notre plus grand plaisir : ils sont un mélange d’adaptation entre le guerrier et le savant, des James Bond de l’espace. Tous les quatre se complètent à merveille, ce qui en fait une équipe redoutable, bien sûr avec une mention médiocre pour le personnage féminin (on s’en serait douté ! je ne vous dis pas ce qu’elle fait !)
C’est un bon livre de détente, à lire pour s’évader
SF
188 pages édité en 1967 au fleuve noir, réédité aux éditions poches….
Résumé de l’édition livre de poche
Être Tiphaine, commandant d'un spationef corsaire, et se retrouver aux prises avec Roland 42, tueur professionnel, à la suite d'une banale querelle de salon, ce n'est déjà pas de tout repos.
Mais se voir ensuite proposer l'oubli de cette peccadille en échange d'une mission ultra-secrète et dangereuse entre Arcturus et Denebola du Lion et accepter par force, c'est aggraver son cas.
C'est bien ce que pense l'équipage du Fulgurant, pourtant aguerri, voire boucané, surtout lorsque le navire se trouve pris au piège d'un champ magnétique qui l'attire irrésistiblement vers Eralbée la Rouge.
Il ne leur reste plus qu'à faire face, sans doute à la mort, sûrement aux Deneboliens.
Et enfin aux femmes de Silaris...
Un space opera comme on n'en fait plus, cousu main par Kurt Steiner, alias André Ruellan, le légendaire auteur de Tunnel, du Disque rayé, des Ortog, des Enfants de l'Histoire et de dizaines d'autres romans de science-fiction et de fantastique.
Mon ressenti
Une histoire de gendarmes et de voleurs, de méchants et de gentils qui est certes classique mais qu’est-ce que cela fait du bien parfois dans notre monde à la va vite. L’auteur plante son décor dans l’espace où des personnages haut en couleur sont dépeints avec sensibilité pour notre plus grand plaisir, sans oublié les nombreux insectes géants, qui rappellent qu’au début de la SF, cela faisait peur… Temps héroïques dépassés aujourd’hui…
Quatre corsaires sont employés par le gouvernement en place pour enquêter sur la disparition de plusieurs vaisseaux. Si au début de l’histoire, les personnages semblent être des brutes typiques (3 hommes et une femme), petit à petit, leur personnalité se dévoile pour notre plus grand plaisir : ils sont un mélange d’adaptation entre le guerrier et le savant, des James Bond de l’espace. Tous les quatre se complètent à merveille, ce qui en fait une équipe redoutable, bien sûr avec une mention médiocre pour le personnage féminin (on s’en serait douté ! je ne vous dis pas ce qu’elle fait !)
C’est un bon livre de détente, à lire pour s’évader