RAYONS POUR SIDAR
SF
187 pages édité au fleuve noir en 1957, réédité en livre de poche
Résumé
Sur la planète Sidar qui doit être donnée aux xress, Lorrain part à la recherche de son double robot, Lionel. Avec lui, il doit accomplir une mission vitale pour Sidar. Mais attention, Sidar est la planète de tous les dangers, surtout lorsqu'on doit voyager à pied.
Mon ressenti
Encore un coup de cœur, j’ai beaucoup aimé le délire de cette histoire. Un physicien est le dernier recours pour sauver la planète de rats géants (je vous laisse imaginer) qui arrivent en vaisseaux… car nos dirigeants ont décidé de céder la planète… et les Xressiens ont promis aux Sidariens de les libérer des humains… Bref, entre les deux mon cœur balance.
Le livre parle de colonisation mais surtout du rapport entre les personnes, les civilisations, les cultures… dans un décor merveilleux surréaliste, dangereux, il n’est pas simple de vivre ou de survivre sur Sidar car il faut sans cesse affronter la faune ou la flore. L’imagination de Wul n’a pas de limite et j’adore.
De l’incroyable, des renversements de situation, un monde décalé ou les hommes ont comme meilleur ami un double d’eux-mêmes, un robot qui contrairement à eux ne vieillira jamais, un frère jumeau… et il y a encore plein de choses surprenantes à découvrir dans cette histoire…
La fin est vraiment époustouflant, il fallait oser et c’est vraiment dingue… J’aurai aimé le voir (je sais c’est de la fiction mais quand même), penser déplacer une planète comme on remorque un véhicule…
Au-delà, de tout cela, le livre reste une belle métaphore de la guerre d’Algérie qui se déroulait à l’époque…
A découvrir
SF
187 pages édité au fleuve noir en 1957, réédité en livre de poche
Résumé
Sur la planète Sidar qui doit être donnée aux xress, Lorrain part à la recherche de son double robot, Lionel. Avec lui, il doit accomplir une mission vitale pour Sidar. Mais attention, Sidar est la planète de tous les dangers, surtout lorsqu'on doit voyager à pied.
Mon ressenti
Encore un coup de cœur, j’ai beaucoup aimé le délire de cette histoire. Un physicien est le dernier recours pour sauver la planète de rats géants (je vous laisse imaginer) qui arrivent en vaisseaux… car nos dirigeants ont décidé de céder la planète… et les Xressiens ont promis aux Sidariens de les libérer des humains… Bref, entre les deux mon cœur balance.
Le livre parle de colonisation mais surtout du rapport entre les personnes, les civilisations, les cultures… dans un décor merveilleux surréaliste, dangereux, il n’est pas simple de vivre ou de survivre sur Sidar car il faut sans cesse affronter la faune ou la flore. L’imagination de Wul n’a pas de limite et j’adore.
De l’incroyable, des renversements de situation, un monde décalé ou les hommes ont comme meilleur ami un double d’eux-mêmes, un robot qui contrairement à eux ne vieillira jamais, un frère jumeau… et il y a encore plein de choses surprenantes à découvrir dans cette histoire…
La fin est vraiment époustouflant, il fallait oser et c’est vraiment dingue… J’aurai aimé le voir (je sais c’est de la fiction mais quand même), penser déplacer une planète comme on remorque un véhicule…
Au-delà, de tout cela, le livre reste une belle métaphore de la guerre d’Algérie qui se déroulait à l’époque…
A découvrir