Titre : Dark Shadow, tome 2 : Réminiscence
Auteur : Lara Parker.
Editeur : Michel Laffon.
Nombre de pages : 330.
Présentation de l'éditeur :
Barnabas Collins est de nouveau humain, libéré de sa condition de vampire grâce aux efforts de Julia, une brillante scientifique. Dans un élan de gratitude, il lui a demandé sa main, mais son cœur ne bat que pour la mystérieuse Antoinette, nouvelle propriétaire des ruines de l’ancienne demeure familiale de Collinwood.
Il apprend vite que cette femme étrange s’est installée dans la région pour être au côté de sa fille tourmentée jusqu’à la démence par les réminiscences d’une prétendue vie antérieure, où elle aurait été brûlée vive pour sorcellerie lors des procès de Salem… et condamnée par un des ancêtres de Barnabas !
Pourtant, l’ancien vampire est prêt à tout pour gagner l’amour d’Antoinette, réparer les erreurs du passé et, surtout, protéger son nouvel amour et sa fille. Car, après avoir découvert un corps exsangue dans son ancien tombeau, il en est désormais certain, un nouveau vampire rôde à Collinsport…
Mon avis :
Vous ne pouvez pas l'ignorer si vous me lisez régulièrement, j'adore écrire des histoires de vampires. J'aime aussi en lire, à condition qu'elles sortent des sentiers battues. Ce tome 2 de Dark Shadow est une bonne surprise.
Imaginez qu'un vampire ait la possibilité de redevenir humain. Barnabas a cette chance, grâce à Julia, une scientifique qui lui a permis de retrouver son humanité. Se pose alors à lui les soucis liés à son humanité. Se nourrir, d'abord, et pas au cou d'une victime potentielle. Vieillir, ensuite, et constater que l'on n'est plus aussi séduisant qu'on l'était. Perdre cette acuité sensorielle à laquelle il était si agréable de se fier. Ne plus être invulnérable.
Barnabas se penche sur son long passé, sur les causes de la malédiction, et sur ses conséquences dans le présent. Antoinette et sa fille Jacqueline (respectivement Toni et Jackie) sont attachantes, vulnérables, et je comprends qu'il ressente le besoin de les protéger, et de faire toute la lumière sur ce qui les unit.
La lumière, ou plutôt les ténèbres, nous les trouvons dans les chapitres consacrés à Salem, 1692. Ce qui est raconté ne peut que faire frémir, tant il est évident pour moi que les femmes accusées de sorcellerie n'avaient aucun moyen véritable de se défendre. Leur tort était d'être des femmes, trop libres, trop indépendantes pour la société de l'époque - elles n'avaient pas d'hommes pour les défendre. Surtout, elles avaient du bien, une ferme, des terres, que certains accusateurs étaient ravis de leur confisquer. Miranda du Val aura beau faire tout son possible, nous savons dès le départ que sa cause est perdue d'avance.
Je me suis attachée à ses personnages, Barnabas, mais surtout Antoinette, Jacqueline (encore une victime de la toute puissance que des personnes bien pensantes veulent imposer aux plus faibles) et David. Je me demande de quoi le troisième tome sera fait.
Auteur : Lara Parker.
Editeur : Michel Laffon.
Nombre de pages : 330.
Présentation de l'éditeur :
Barnabas Collins est de nouveau humain, libéré de sa condition de vampire grâce aux efforts de Julia, une brillante scientifique. Dans un élan de gratitude, il lui a demandé sa main, mais son cœur ne bat que pour la mystérieuse Antoinette, nouvelle propriétaire des ruines de l’ancienne demeure familiale de Collinwood.
Il apprend vite que cette femme étrange s’est installée dans la région pour être au côté de sa fille tourmentée jusqu’à la démence par les réminiscences d’une prétendue vie antérieure, où elle aurait été brûlée vive pour sorcellerie lors des procès de Salem… et condamnée par un des ancêtres de Barnabas !
Pourtant, l’ancien vampire est prêt à tout pour gagner l’amour d’Antoinette, réparer les erreurs du passé et, surtout, protéger son nouvel amour et sa fille. Car, après avoir découvert un corps exsangue dans son ancien tombeau, il en est désormais certain, un nouveau vampire rôde à Collinsport…
Mon avis :
Vous ne pouvez pas l'ignorer si vous me lisez régulièrement, j'adore écrire des histoires de vampires. J'aime aussi en lire, à condition qu'elles sortent des sentiers battues. Ce tome 2 de Dark Shadow est une bonne surprise.
Imaginez qu'un vampire ait la possibilité de redevenir humain. Barnabas a cette chance, grâce à Julia, une scientifique qui lui a permis de retrouver son humanité. Se pose alors à lui les soucis liés à son humanité. Se nourrir, d'abord, et pas au cou d'une victime potentielle. Vieillir, ensuite, et constater que l'on n'est plus aussi séduisant qu'on l'était. Perdre cette acuité sensorielle à laquelle il était si agréable de se fier. Ne plus être invulnérable.
Barnabas se penche sur son long passé, sur les causes de la malédiction, et sur ses conséquences dans le présent. Antoinette et sa fille Jacqueline (respectivement Toni et Jackie) sont attachantes, vulnérables, et je comprends qu'il ressente le besoin de les protéger, et de faire toute la lumière sur ce qui les unit.
La lumière, ou plutôt les ténèbres, nous les trouvons dans les chapitres consacrés à Salem, 1692. Ce qui est raconté ne peut que faire frémir, tant il est évident pour moi que les femmes accusées de sorcellerie n'avaient aucun moyen véritable de se défendre. Leur tort était d'être des femmes, trop libres, trop indépendantes pour la société de l'époque - elles n'avaient pas d'hommes pour les défendre. Surtout, elles avaient du bien, une ferme, des terres, que certains accusateurs étaient ravis de leur confisquer. Miranda du Val aura beau faire tout son possible, nous savons dès le départ que sa cause est perdue d'avance.
Je me suis attachée à ses personnages, Barnabas, mais surtout Antoinette, Jacqueline (encore une victime de la toute puissance que des personnes bien pensantes veulent imposer aux plus faibles) et David. Je me demande de quoi le troisième tome sera fait.