DANS LA PEAU
J'ai bien aimé, sans plus. Première expérience de ces auteurs à quatre mains. On se demande, moi notamment, comment peut-on écrire ainsi ? Une ligne sur deux, un paragraphe sur deux, un chapitre sur deux, etc. C'est vrai au piano on sait, la moitié du clavier chacun, mais là ? Bref je m'égare (Montparnasse, je vous l'ai déjà faite ? Non! Si. Excusez.) car ce n'est pas si mal écrit que cela, bien au contraire, on aura vu pire. Là je suis empêché, je cherche, plus ou moins, quoi écrire et c'est rare, non, non, ma tête ça va, c'est le bouquin, si, vraiment. Pourtant elle est rigolote la petite Zoé, la première de la liste, elle arrête une tentative de vol de sac en pleine rue avec un coup de pastèque bien asséné, c'est original, non ? Elle devient célèbre et doit supporter sa notoriété, cela ne lui portera pas bonheur, la pauvre.
La seconde, Jennifer, du fait de la réception du même style de lettres que Zoé, je vous en ai parlé ? Non ! C'est pas vrai, quel narrateur je fais, franchement, x'cusez. Bon, donc "bis repetita placent" mais la police envoie un limier ou deux pour rester, jour et nuit, avec cette mère de famille débordée, trompée, malheureuse et n'ayant que ses enfants pour surnager un peu. A vrai dire et je n'en dirai pas plus, la police sur place ne servira à rien. A partir de là, je sens que je vais trouver qui oeuvre, et vous le savez, je n'aime pas ça, oui je ne suis que le lecteur et pas le découvreur, le limier, cigare, fauteuil et bière plus quelques chocolats noirs 74% quand même.
Nadia qui est plutôt petite, comme les autres, vrai vous saviez pas ? Vous savez, vous pouvez vous plaindre, si, moi je le ferai, à qui ? Ben à moi, pardi. Donc disais-je, petite elle attire forcément le tueur, là je sais qui c'est, plash, trouvé, la-la-lère, je ne me réjouis pas plus que ça car mon triomphe est partiel, j'ai deux bonnes réponses sur trois, à mon avis c'est de la faute soit à Nicci, soit à French ou les deux, pourquoi pas, ils en sont capables les bougres. Dans cette troisième partie, Nadia, l'héroïne, non pas celle-là, la protagoniste du livre à une relation avec le chief inspector et ça, c'est vilain, d'ailleurs elle s'en rendra compte et, le pauvre, regrettera amèrement d'avoir cédé. La surveillance de la police et l'intelligence de cette Nadia auront le dernier mot.
L'écriture est vive, ronde, sans fioriture, pas de grandes envolées lyrique, du travail léché, agréable avec un sirop de grenadine, pas un vieux whisky de 15 ans d'âge, si vous voyez ce que je veux dire.
Je ne me suis pas trop ennuyé. Bref pas mal mais peut mieux faire.
Comme d'habitude celui qui a écrit la quatrième de couverture est à côté de la plaque et vous pouvez, sans problème, rayer la dernière phrase.
J'ai bien aimé, sans plus. Première expérience de ces auteurs à quatre mains. On se demande, moi notamment, comment peut-on écrire ainsi ? Une ligne sur deux, un paragraphe sur deux, un chapitre sur deux, etc. C'est vrai au piano on sait, la moitié du clavier chacun, mais là ? Bref je m'égare (Montparnasse, je vous l'ai déjà faite ? Non! Si. Excusez.) car ce n'est pas si mal écrit que cela, bien au contraire, on aura vu pire. Là je suis empêché, je cherche, plus ou moins, quoi écrire et c'est rare, non, non, ma tête ça va, c'est le bouquin, si, vraiment. Pourtant elle est rigolote la petite Zoé, la première de la liste, elle arrête une tentative de vol de sac en pleine rue avec un coup de pastèque bien asséné, c'est original, non ? Elle devient célèbre et doit supporter sa notoriété, cela ne lui portera pas bonheur, la pauvre.
La seconde, Jennifer, du fait de la réception du même style de lettres que Zoé, je vous en ai parlé ? Non ! C'est pas vrai, quel narrateur je fais, franchement, x'cusez. Bon, donc "bis repetita placent" mais la police envoie un limier ou deux pour rester, jour et nuit, avec cette mère de famille débordée, trompée, malheureuse et n'ayant que ses enfants pour surnager un peu. A vrai dire et je n'en dirai pas plus, la police sur place ne servira à rien. A partir de là, je sens que je vais trouver qui oeuvre, et vous le savez, je n'aime pas ça, oui je ne suis que le lecteur et pas le découvreur, le limier, cigare, fauteuil et bière plus quelques chocolats noirs 74% quand même.
Nadia qui est plutôt petite, comme les autres, vrai vous saviez pas ? Vous savez, vous pouvez vous plaindre, si, moi je le ferai, à qui ? Ben à moi, pardi. Donc disais-je, petite elle attire forcément le tueur, là je sais qui c'est, plash, trouvé, la-la-lère, je ne me réjouis pas plus que ça car mon triomphe est partiel, j'ai deux bonnes réponses sur trois, à mon avis c'est de la faute soit à Nicci, soit à French ou les deux, pourquoi pas, ils en sont capables les bougres. Dans cette troisième partie, Nadia, l'héroïne, non pas celle-là, la protagoniste du livre à une relation avec le chief inspector et ça, c'est vilain, d'ailleurs elle s'en rendra compte et, le pauvre, regrettera amèrement d'avoir cédé. La surveillance de la police et l'intelligence de cette Nadia auront le dernier mot.
L'écriture est vive, ronde, sans fioriture, pas de grandes envolées lyrique, du travail léché, agréable avec un sirop de grenadine, pas un vieux whisky de 15 ans d'âge, si vous voyez ce que je veux dire.
Je ne me suis pas trop ennuyé. Bref pas mal mais peut mieux faire.
Comme d'habitude celui qui a écrit la quatrième de couverture est à côté de la plaque et vous pouvez, sans problème, rayer la dernière phrase.