Titre : Seule la fleur sait, tome 1.
Editeur : Taifu comics. Nombre de pages : 198.
Présentation de l’éditeur :
Arikawa fait une rencontre inattendue avec un étudiant, Misaki, en lui donnant un coup de main. Le même jour, en rentrant à la maison, il le rencontre à nouveau par accident en lui rentrant dedans. Il récupère accidentellement le collier de fleur de Misaki qui semble avoir une valeur sentimentale…
Mon avis :
Ceci est un yaoi, un yaoi tout mignon, tout gentil, pour ne pas dire un peu niais. Bref, un yaoi qui peut être mis entre toutes les mains, car il ne comporte pas de scènes trop osées ou choquantes. Je ne vous cacherai pas non plus que ce qui m’a attiré est la couverture, que je trouve vraiment très belle.
Misaki et Akirawa sont deux étudiants. Ils se sont rencontrés une première fois, puis une seconde fois, puis ils vont être amenés à travailler ensemble, dans le laboratoire de botanique – plutôt étrange qu’un étudiant en droit, qui devrait être débordé, décide de travailler dans ce labo, pour aider un Misaki surchargé de travail, non ? Bien sûr, avoir postulé pour cette charge n’est pas un hasard, c’est un moyen comme un autre de se rapprocher du discret Misaki qui-n’était-pas-le-garçon-qu’Arikawa-a-bousculé-deux-fois. Il n’était pas non plus le garçon qui portait ce collier de fleur (un truc de filles !). Bref, le presque aussi timide Arikawa aura bien du mal à se rapprocher de lui, ce qui fait que le rythme de ce manga sera lent, très lent, et en même temps représentatif des hésitations des deux personnages principaux. L’action culmine en une scène touchante, mais rien n’est encore définitif, pas comme dans d’autres yaio bien plus crus.
J’ai le tome 2 – il faut juste que je trouve le temps de le lire, entre deux romans policiers.
Editeur : Taifu comics. Nombre de pages : 198.
Présentation de l’éditeur :
Arikawa fait une rencontre inattendue avec un étudiant, Misaki, en lui donnant un coup de main. Le même jour, en rentrant à la maison, il le rencontre à nouveau par accident en lui rentrant dedans. Il récupère accidentellement le collier de fleur de Misaki qui semble avoir une valeur sentimentale…
Mon avis :
Ceci est un yaoi, un yaoi tout mignon, tout gentil, pour ne pas dire un peu niais. Bref, un yaoi qui peut être mis entre toutes les mains, car il ne comporte pas de scènes trop osées ou choquantes. Je ne vous cacherai pas non plus que ce qui m’a attiré est la couverture, que je trouve vraiment très belle.
Misaki et Akirawa sont deux étudiants. Ils se sont rencontrés une première fois, puis une seconde fois, puis ils vont être amenés à travailler ensemble, dans le laboratoire de botanique – plutôt étrange qu’un étudiant en droit, qui devrait être débordé, décide de travailler dans ce labo, pour aider un Misaki surchargé de travail, non ? Bien sûr, avoir postulé pour cette charge n’est pas un hasard, c’est un moyen comme un autre de se rapprocher du discret Misaki qui-n’était-pas-le-garçon-qu’Arikawa-a-bousculé-deux-fois. Il n’était pas non plus le garçon qui portait ce collier de fleur (un truc de filles !). Bref, le presque aussi timide Arikawa aura bien du mal à se rapprocher de lui, ce qui fait que le rythme de ce manga sera lent, très lent, et en même temps représentatif des hésitations des deux personnages principaux. L’action culmine en une scène touchante, mais rien n’est encore définitif, pas comme dans d’autres yaio bien plus crus.
J’ai le tome 2 – il faut juste que je trouve le temps de le lire, entre deux romans policiers.