COMMENT J'AI VIDE LA MAISON DE MES PARENTS
Réflexions, édité chez Points en mars 2013
168 pages
Résumé
Un jour, alors que l'enfance sera déjà loin, nous deviendrons orphelins. Une fois nos disparus enterrés, nous devrons accomplir cette tâche impudique : vider la maison de nos parents. Pour chacun des objets et souvenirs de leurs vies, nous n'aurons que l'un de ces choix : garder, offrir, vendre ou jeter. Puis, dans le désordre des émotions, nous fermerons leur porte, qui est aussi un peu la nôtre.
Mon ressenti
Ce n’est pas un roman mais quelques réflexions après le décès d’un ou de ses parents et qu’il faut alors vider leur maison ou sa maison d’enfant. Je me suis bien retrouvée dans ce qu’elle décrit, j’ai été touchée à bien des niveaux.
Oui, ce n’est pas une chose simple car il faut choisir à la place de…, du devenir de cet endroit et de ces objets qui sont une partie de soi. Mais ce n’est pas tant le matériel qui importe, c’est un vecteur, un support sur lequel il faut s’appuyer. L’important ici, c’est de passer une étape, de se dire « que les témoins principaux et les dépositaires de notre enfance ne sont plus là… » et qu’il faut que nous prenions le relais et la place.
Toujours juste avec colère, tristesse ou humour, le texte porte et soutient la traversée de cette étape.
A découvrir
Réflexions, édité chez Points en mars 2013
168 pages
Résumé
Un jour, alors que l'enfance sera déjà loin, nous deviendrons orphelins. Une fois nos disparus enterrés, nous devrons accomplir cette tâche impudique : vider la maison de nos parents. Pour chacun des objets et souvenirs de leurs vies, nous n'aurons que l'un de ces choix : garder, offrir, vendre ou jeter. Puis, dans le désordre des émotions, nous fermerons leur porte, qui est aussi un peu la nôtre.
Mon ressenti
Ce n’est pas un roman mais quelques réflexions après le décès d’un ou de ses parents et qu’il faut alors vider leur maison ou sa maison d’enfant. Je me suis bien retrouvée dans ce qu’elle décrit, j’ai été touchée à bien des niveaux.
Oui, ce n’est pas une chose simple car il faut choisir à la place de…, du devenir de cet endroit et de ces objets qui sont une partie de soi. Mais ce n’est pas tant le matériel qui importe, c’est un vecteur, un support sur lequel il faut s’appuyer. L’important ici, c’est de passer une étape, de se dire « que les témoins principaux et les dépositaires de notre enfance ne sont plus là… » et qu’il faut que nous prenions le relais et la place.
Toujours juste avec colère, tristesse ou humour, le texte porte et soutient la traversée de cette étape.
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