La dernière conquête du Major Pettigrew
Auteur: Helen Simonson
Edition: NiL
Pages: 493
Roman contemporain
Quatrième de couverture
« À Edgecombe St. Mary, en plein cœur de la campagne anglaise, une tasse de thé délicatement infusé est un rituel auquel, à l’heure dite, le major Ernest Pettigrew ne saurait déroger pas plus qu’à son sens du devoir et à son extrême courtoisie, aussi désuète que touchante, qui font de lui l’archétype même du gentleman anglais : raffiné, sarcastique et irréprochable. Dans ce petit village pittoresque où les cottages le disputent aux clématites, le major a depuis trop longtemps délaissé son jardin. Désormais veuf, il a pour seule compagnie ses livres, ses chers Kipling, et quelques amis du club de golf fuyant leurs dames patronnesses. Ce n’est guère son fils, Roger, un jeune londonien ambitieux, qui pourrait le combler de tendresse. Mais, le jour où le major apprend le décès de son frère Bertie, la présence douce et gracieuse de Mme Ali, veuve elle aussi, va réveiller son cœur engourdi. Tout devrait les séparer, elle, la petite commerçante d’origine pakistanaise, et lui, le major anglais élevé dans le plus pur esprit britannique. Pourtant leur passion pour la littérature et la douleur partagée du deuil sauront les réunir. Ils vont, dès lors, être confrontés aux préjugés mesquins des villageois, où le racisme ordinaire sévit tout autant dans les soirées privées, sur le parcours de golf, à la chasse, sur les bancs de messe que dans les douillets intérieurs. »
Mon avis
J’ai abandonnée ce livre au milieu pendant le printemps, et puis j’ai décidé que je voulais savoir le fin mot de l’histoire. Alors armée de courage je suis repartie dans ce roman, et ce ne fut pas sans peine. En effet l’histoire sur la quatrième de couverture est très bien écrite pour nous attirer, mais le résultat n’est pas à la hauteur.
Un livre rempli à craquer de détails sur tout et n’importe quoi, ça devient vite lassant. Pour ma part ça ne m’a pas plu, je trouve que des fois les trop gros livres sont emplis de pages pour dire de faire un pavé. Celui là je le mets dans cette catégorie. Et puis la romance met un temps infini à se mettre en place, c’est vers la fin que tout se passe, et là encore des rebondissement qui ne servent à rien viennent s’immiscer. Donc .