Soixante-neuf tiroirs de Goran Petrovic
aux éditions du rocher, collection Motifs, 450 pages
Quatrième de couverture
Lire n'est pas une activité innocente.
C'est aussi vivre dangereusement, comme le montrent les aventures extraordinnaires des personnages de ce roman, lecteurs passionnés qui mènent une double vie et qui se rencontrent entre leur réalité quotidiennes et leurs lectures.
Ainsi, Adam se plongeant littéralement dans un texte, s'aperçoit vite qu'il n'est pas seul. D'autres lecteurs le hante, parmi lesquels une vieille dame excentrique, un ancien agent d'une section très spéciale des services secrets, une jeune fille au parfum câlin.
Ecrite par l'un des meilleurs écrivains serbes contemporains, l'histoire surprenante qui tisse ce roman est un éloge ludique des grands espaces de lectures sans lesquels certains d'entre nous ne sauraient respirer.
Traduit du serbe par Gojko Lukic et Gabriel Iaculli.
Mon avis
C'est un roman surprenant et original, soixante-neuf paragraphes pour inciter le lecteur, le personnage de l'histoire qui, s'il en possède les capacités, entre à l'intérieur du roman (ou du journal) et croise d'autres lecteurs, déambule dans un jardin, s'installe à une terrasse, prend possession du décor. Ainsi, en plein hiver, il peut se retrouver sur une plage ensoleillée et une fois sa lecture terminée, de retour dans son fauteuil secouer ses chaussures pleines de sable... constater des petits changements dans sa tenue.
C'est une lecture agréable, les personnages de ce roman oscillent entre présent et plaisir de la rencontre imaginaire.
aux éditions du rocher, collection Motifs, 450 pages
Quatrième de couverture
Lire n'est pas une activité innocente.
C'est aussi vivre dangereusement, comme le montrent les aventures extraordinnaires des personnages de ce roman, lecteurs passionnés qui mènent une double vie et qui se rencontrent entre leur réalité quotidiennes et leurs lectures.
Ainsi, Adam se plongeant littéralement dans un texte, s'aperçoit vite qu'il n'est pas seul. D'autres lecteurs le hante, parmi lesquels une vieille dame excentrique, un ancien agent d'une section très spéciale des services secrets, une jeune fille au parfum câlin.
Ecrite par l'un des meilleurs écrivains serbes contemporains, l'histoire surprenante qui tisse ce roman est un éloge ludique des grands espaces de lectures sans lesquels certains d'entre nous ne sauraient respirer.
Traduit du serbe par Gojko Lukic et Gabriel Iaculli.
Mon avis
C'est un roman surprenant et original, soixante-neuf paragraphes pour inciter le lecteur, le personnage de l'histoire qui, s'il en possède les capacités, entre à l'intérieur du roman (ou du journal) et croise d'autres lecteurs, déambule dans un jardin, s'installe à une terrasse, prend possession du décor. Ainsi, en plein hiver, il peut se retrouver sur une plage ensoleillée et une fois sa lecture terminée, de retour dans son fauteuil secouer ses chaussures pleines de sable... constater des petits changements dans sa tenue.
C'est une lecture agréable, les personnages de ce roman oscillent entre présent et plaisir de la rencontre imaginaire.