Chinoises
Récit
351 pages, édité chez Picquier poche en janvier 2005
Résumé du livre
Un
dicton chinois prétend que " dans chaque famille il y a un livre qu'il
vaut mieux ne pas lire à haute voix ". Une femme a rompu le silence.
Durant huit années, de 1989 à 1997, Xinran a présenté chaque nuit à la
radio chinoise une émission au cours de laquelle elle invitait les
femmes à parler d'elles-mêmes, sans tabou. Elle a rencontré des
centaines d'entre elles. Avec compassion elle les a écoutées se raconter
et lui confier leurs secrets enfouis au plus profond d'elles-mêmes.
Epouses de hauts dirigeants du Parti ou paysannes du fin fond de la
Chine, elles disent leurs souffrances incroyables : mariages forcés,
viols, familles décimées, pauvreté ou folie... Mais elles parlent aussi
d'amour. Elles disent aussi comment, en dépit des épreuves, en dépit du
chaos politique, elles chérissent et nourrissent ce qui leur reste.
Un
livre bouleversant, " décapant, à lire de toute urgence pour voir
l'importance du trajet que la femme chinoise a dû et doit encore
accomplir " (Diane de Margerie, Le Figaro littéraire).
Mon avis
on
ne sort pas indemne de cette lecture... des mots ou des images, des
histoires impensables à notre époque, et pourtant... des histoires e vie
de femmes émouvantes, déchirantes, terribles... des questions qui
reviennent comme un leit motiv : comment peut-on encore à notre époque
voir cela ? Comment des choses pareils peuvent-elles exister ? Les
femmes sont des objets, de la marchandise que l'on troque...
Un
livre pour ne pas oublier qu'au cours de son histoire, la femme a vu son
statut bougé, évolué... qu'il ne faut pas oublier que dans les pays
occidentaux, la femme peut disposer de son corps comme elle l'entend, le
droit de vote, le droit au divorce... pour ne citer que cela... depuis
une cinquantaine d'année.... (en France en tout cas !)
La Chine s'ouvre dit-on ? Je reste sur l'expectative quand je vois ce qui se passe autour des jeux olympiques...
A lire obligatoirement
Amicalement, pinky
Récit
351 pages, édité chez Picquier poche en janvier 2005
Résumé du livre
Un
dicton chinois prétend que " dans chaque famille il y a un livre qu'il
vaut mieux ne pas lire à haute voix ". Une femme a rompu le silence.
Durant huit années, de 1989 à 1997, Xinran a présenté chaque nuit à la
radio chinoise une émission au cours de laquelle elle invitait les
femmes à parler d'elles-mêmes, sans tabou. Elle a rencontré des
centaines d'entre elles. Avec compassion elle les a écoutées se raconter
et lui confier leurs secrets enfouis au plus profond d'elles-mêmes.
Epouses de hauts dirigeants du Parti ou paysannes du fin fond de la
Chine, elles disent leurs souffrances incroyables : mariages forcés,
viols, familles décimées, pauvreté ou folie... Mais elles parlent aussi
d'amour. Elles disent aussi comment, en dépit des épreuves, en dépit du
chaos politique, elles chérissent et nourrissent ce qui leur reste.
Un
livre bouleversant, " décapant, à lire de toute urgence pour voir
l'importance du trajet que la femme chinoise a dû et doit encore
accomplir " (Diane de Margerie, Le Figaro littéraire).
Mon avis
on
ne sort pas indemne de cette lecture... des mots ou des images, des
histoires impensables à notre époque, et pourtant... des histoires e vie
de femmes émouvantes, déchirantes, terribles... des questions qui
reviennent comme un leit motiv : comment peut-on encore à notre époque
voir cela ? Comment des choses pareils peuvent-elles exister ? Les
femmes sont des objets, de la marchandise que l'on troque...
Un
livre pour ne pas oublier qu'au cours de son histoire, la femme a vu son
statut bougé, évolué... qu'il ne faut pas oublier que dans les pays
occidentaux, la femme peut disposer de son corps comme elle l'entend, le
droit de vote, le droit au divorce... pour ne citer que cela... depuis
une cinquantaine d'année.... (en France en tout cas !)
La Chine s'ouvre dit-on ? Je reste sur l'expectative quand je vois ce qui se passe autour des jeux olympiques...
A lire obligatoirement
Amicalement, pinky