BLITZ
Tome 1 : Black-out
Tome 2 : All Clear
Science-fiction
Quatrième de couverture :
En 2060, l'histoire n'a plus rien d'une discipline poussiéreuse. Grâce à la maîtrise du voyage dans le temps, les chercheurs de l'université d'Oxford se rendent fréquemment dans le passé, au plus près des évènements qu'ils étudient - la guerre de Sécession, l'attaque de Pearl Harbour, les attentats du World Trade Center... - pour collecter des données toujours plus précises. Mais à trop vouloir s'approcher du feu de l'action, on finit par s'y brûler. C'est ce qu'apprendront à leurs dépens les jeunes historiens envoyés au cœur de l'horreur de la Seconde Guerre mondiale. Car à Londres, en 1940, les bombes nazies n'ont plus rien d'une abstraction...
Mon avis :
Le roman entier fait environ 1500 pages. J'ai trouvé le 1er tome très long, j'ai eu du mal à accrocher. D'un chapitre à l'autre, on passe d'un historien à l'autre, l'intrigue est décousue au point que j'en ai été agacée. Par ailleurs, même si le quotidien des civils en Angleterre pendant la Seconde Guerre mondiale est intéressant, il ne l'est pas au point de devoir décrire chaque journée...
J'ai failli abandonner après le 1er tome, mais j'ai eu envie de connaître la fin. Le 2e tome est meilleur, bien que l'auteur y garde son grand sens du détail, déjà parce que les personnages se retrouvent. L'histoire est beaucoup plus cohérente et donne une vision plus large de la Seconde Guerre mondiale, au travers de l'organisation des secours à la population, des stratégies de désinformation, etc.
Tome 1 : Black-out
Tome 2 : All Clear
Science-fiction
Quatrième de couverture :
En 2060, l'histoire n'a plus rien d'une discipline poussiéreuse. Grâce à la maîtrise du voyage dans le temps, les chercheurs de l'université d'Oxford se rendent fréquemment dans le passé, au plus près des évènements qu'ils étudient - la guerre de Sécession, l'attaque de Pearl Harbour, les attentats du World Trade Center... - pour collecter des données toujours plus précises. Mais à trop vouloir s'approcher du feu de l'action, on finit par s'y brûler. C'est ce qu'apprendront à leurs dépens les jeunes historiens envoyés au cœur de l'horreur de la Seconde Guerre mondiale. Car à Londres, en 1940, les bombes nazies n'ont plus rien d'une abstraction...
Mon avis :
Le roman entier fait environ 1500 pages. J'ai trouvé le 1er tome très long, j'ai eu du mal à accrocher. D'un chapitre à l'autre, on passe d'un historien à l'autre, l'intrigue est décousue au point que j'en ai été agacée. Par ailleurs, même si le quotidien des civils en Angleterre pendant la Seconde Guerre mondiale est intéressant, il ne l'est pas au point de devoir décrire chaque journée...
J'ai failli abandonner après le 1er tome, mais j'ai eu envie de connaître la fin. Le 2e tome est meilleur, bien que l'auteur y garde son grand sens du détail, déjà parce que les personnages se retrouvent. L'histoire est beaucoup plus cohérente et donne une vision plus large de la Seconde Guerre mondiale, au travers de l'organisation des secours à la population, des stratégies de désinformation, etc.