LES MEDUSES DE MOOFAR
SF édité au fleuve noir en 1971
240 pages
Résumé
... -Je vous présente le lieutenant Tifflor, Régent. Il n'en est pas à sa première mission contre les Francs-Passeurs, sous les espèces d'un « appeau cosmique ».
— Que voulez-vous dire ?
— Nos savants lui ont implanté dans le corps un minuscule émetteur, qui lance un signal incessant. Celui-ci peut être instantanément capté, dans un rayon de deux années-lumière. Mais — et c'est là le point important — non par un appareil d'hyperradio : par voie télépathique.
« Le lieutenant est devenu, en quelque sorte, un télépathe artificiel, capable de se faire entendre à longue distance, à l'insu de l'ennemi. »
Mon ressenti
Perry Rhodan a 700 membres de son équipage malades dont sa dulcinée. Ils ne sont plus que 8 valides. Une bactérie transmise par un adorable petit bébé. L’argonie (la bactérie) s’attaque à l’ensemble des cellules nerveuses suscitant une hyper euphorie. Le malade ne sent plus rien mais se bidonne constamment oubliant ses besoins primaires. Pas de remède et la mort assuré. Perdu dans la galaxie, il faut se rendre là ou peut être le remède existe. La route est longue et semé d’embuche d’autant que le mal veille… bref peut-être est-ce le coup des méduses. Je dois dire que j’aime beaucoup cette trouvaille intergalactique. Nous connaissons tous les méduses mais si rappelez-vous, ces petites bêtes bien gélatineuse transparente le long de nos côtes, l’été. Ca y est vous y êtes !
Maintenant imaginez : Elles se téléportent (vous êtes en partance pour un super voyage et hop une méduse !). Elles ont des pouvoirs psychiques tels qu’elles font ce qu’elles veulent de vous. Par contre, elles sont toujours aussi gélatineuses et vivent sur la planète Moofar dans de l’acide. Une toute seule, vous avez fort affaire mais lorsqu’elles se rassemblent, elles décuplent leurs forces… de quoi avoir les « glandouilles » ou les « foies ». Rapidement, il est clair que ces petites bêtes n’y sont pour rien dans ce vaste complot. Elles vont donc aider comme elles le peuvent notre équipage avant de retourner dans leur acide bien aimé.
Bon, vous l’aurez compris, le livre est un très bon divertissement. La fin est grandiose et pose la question des soins avec le monopole de certains monopoles.
J’ai un faible pour les méduses. Autre petit conseil pour les vacances, n’allez pas à Moofar. !
SF édité au fleuve noir en 1971
240 pages
Résumé
... -Je vous présente le lieutenant Tifflor, Régent. Il n'en est pas à sa première mission contre les Francs-Passeurs, sous les espèces d'un « appeau cosmique ».
— Que voulez-vous dire ?
— Nos savants lui ont implanté dans le corps un minuscule émetteur, qui lance un signal incessant. Celui-ci peut être instantanément capté, dans un rayon de deux années-lumière. Mais — et c'est là le point important — non par un appareil d'hyperradio : par voie télépathique.
« Le lieutenant est devenu, en quelque sorte, un télépathe artificiel, capable de se faire entendre à longue distance, à l'insu de l'ennemi. »
Mon ressenti
Perry Rhodan a 700 membres de son équipage malades dont sa dulcinée. Ils ne sont plus que 8 valides. Une bactérie transmise par un adorable petit bébé. L’argonie (la bactérie) s’attaque à l’ensemble des cellules nerveuses suscitant une hyper euphorie. Le malade ne sent plus rien mais se bidonne constamment oubliant ses besoins primaires. Pas de remède et la mort assuré. Perdu dans la galaxie, il faut se rendre là ou peut être le remède existe. La route est longue et semé d’embuche d’autant que le mal veille… bref peut-être est-ce le coup des méduses. Je dois dire que j’aime beaucoup cette trouvaille intergalactique. Nous connaissons tous les méduses mais si rappelez-vous, ces petites bêtes bien gélatineuse transparente le long de nos côtes, l’été. Ca y est vous y êtes !
Maintenant imaginez : Elles se téléportent (vous êtes en partance pour un super voyage et hop une méduse !). Elles ont des pouvoirs psychiques tels qu’elles font ce qu’elles veulent de vous. Par contre, elles sont toujours aussi gélatineuses et vivent sur la planète Moofar dans de l’acide. Une toute seule, vous avez fort affaire mais lorsqu’elles se rassemblent, elles décuplent leurs forces… de quoi avoir les « glandouilles » ou les « foies ». Rapidement, il est clair que ces petites bêtes n’y sont pour rien dans ce vaste complot. Elles vont donc aider comme elles le peuvent notre équipage avant de retourner dans leur acide bien aimé.
Bon, vous l’aurez compris, le livre est un très bon divertissement. La fin est grandiose et pose la question des soins avec le monopole de certains monopoles.
J’ai un faible pour les méduses. Autre petit conseil pour les vacances, n’allez pas à Moofar. !