SAKURAN
Manga historique, ré-édité chez Pika en novembre 2010
308 pages
Résumé
Vendue à une maison close dès son plus jeune âge, Tomeki, une petite fille rebelle cherche par tous les moyens à échapper à la condition de courtisane - ou, plus crûment, de prostituée, à laquelle on la destine. Mais difficile d'échapper à un destin tout tracé. Les années passant, Tomeki sous le nom de Kiyoha, devient une courtisane en vue, et développe un véritable don pour les choses de l'amour. Un talent précieux dans un monde gouverné par l'argent, la violence... et le sexe.
Mon ressenti
Le lecteur va suivre l’évolution de Tomeki : petite fille vendue qui va grandir dans une maison close. Entrée au service de l’Oiran, elle va apprendre à devenir une courtisane. L’Oiran est une Courtisane de haut rang en vigueur depuis la période Edo (1600 – 1868). L’attribution de ce titre s’obtient selon des critères de beauté, de caractère, d’éducation et d’aptitudes artistiques développées. Le mot « Oiran » est composé de deux idéogrammes : (HANA) signifiant « fleur» et (KAI) signifiant « chef ».
Les dessins de ce manga sont d’une grande précision, d’une délicatesse amenant beauté, poésie dans ce monde clos souvent violent. L’univers des geishas a toujours fasciné notre monde tant par ces rituels et la culture que par le maintien et les tenues de ses femmes. L’histoire raconte partiellement comment une petite fille va le devenir. Elle y rencontrera la violence, la promiscuité, les secrets, la compétition, l’irrespect de sa personne, l’arrogance…
La prostitution montre le même visage quel que soit le pays : les jeunes filles tombées là-dedans sont des étoiles qui ne brillent pas longtemps.
Il n’y a pas non plus de scènes vulgaires ou pornographiques que ce soit dans la mise en scène ou dans le langage. L’auteur a fait un grand travail de recherche sur les coutumes du Japon et de ce milieu. Cela transparait dans ses dessins et le dessin des étoffes très bien rendues.
A découvrir
Manga historique, ré-édité chez Pika en novembre 2010
308 pages
Résumé
Vendue à une maison close dès son plus jeune âge, Tomeki, une petite fille rebelle cherche par tous les moyens à échapper à la condition de courtisane - ou, plus crûment, de prostituée, à laquelle on la destine. Mais difficile d'échapper à un destin tout tracé. Les années passant, Tomeki sous le nom de Kiyoha, devient une courtisane en vue, et développe un véritable don pour les choses de l'amour. Un talent précieux dans un monde gouverné par l'argent, la violence... et le sexe.
Mon ressenti
Le lecteur va suivre l’évolution de Tomeki : petite fille vendue qui va grandir dans une maison close. Entrée au service de l’Oiran, elle va apprendre à devenir une courtisane. L’Oiran est une Courtisane de haut rang en vigueur depuis la période Edo (1600 – 1868). L’attribution de ce titre s’obtient selon des critères de beauté, de caractère, d’éducation et d’aptitudes artistiques développées. Le mot « Oiran » est composé de deux idéogrammes : (HANA) signifiant « fleur» et (KAI) signifiant « chef ».
Les dessins de ce manga sont d’une grande précision, d’une délicatesse amenant beauté, poésie dans ce monde clos souvent violent. L’univers des geishas a toujours fasciné notre monde tant par ces rituels et la culture que par le maintien et les tenues de ses femmes. L’histoire raconte partiellement comment une petite fille va le devenir. Elle y rencontrera la violence, la promiscuité, les secrets, la compétition, l’irrespect de sa personne, l’arrogance…
La prostitution montre le même visage quel que soit le pays : les jeunes filles tombées là-dedans sont des étoiles qui ne brillent pas longtemps.
Il n’y a pas non plus de scènes vulgaires ou pornographiques que ce soit dans la mise en scène ou dans le langage. L’auteur a fait un grand travail de recherche sur les coutumes du Japon et de ce milieu. Cela transparait dans ses dessins et le dessin des étoffes très bien rendues.
A découvrir