PLAN DE TABLE
Quatrième de Couverture :
La famille Van Meter est en effervescence sur la très select île de Waskeke : Daphnée, la fille aînée, se marie ! Tous goûtent le luxe et l'extravagance de ce mariage de princesse, seul son père arbore une mine maussade ... Il n'apprécie guère de voir sa fille très enceinte s'afficher en robe virginale et supporte difficilement les commentaires gras et les discours de ses proches. Deux jours à tenir au milieu des froufrous ... Mais d'incidents en scandales, rien ne se passera comme prévu !
Mon avis :
très déçue ... car l'histoire ne correspond en rien à ce que je m'attendais.
Encore un roman que celui qui a rédigé la quatrième de couverture n'a pas lu de toute évidence ! pas de commentaires gras sur la fille enceinte, peu de discours des proches sur des potins ou autres, juste une page sur le plan de table (titre franchement mal choisi).
Je m'attendais à une histoire sur l'organisation d'un mariage mondain, avec tous les tracas du fameux plan de table, et tout un tas de scandales ou imprévus qui le remettraient en question sans arrêt, et avec, cerise sur le gâteau, des clashs non attendus le jour J.
Et bien rien de tout ça. Et rien de drôle, mais alors rien du tout.
En fait, c'est une description très pessimiste, très critique voire méprisante d'une certaine classe américaine, ces WASP avec leurs clans liés à l'école qu'ils ont fréquentée, liés à leurs Clubs (concept très british), et leur conception du comportement d'un gentleman ou d'une femme de gentleman (là aussi, conception toute victorienne), bref de cette classe que l'auteur qualifie d'Aristocratie Américaine.
Cette lecture m'a laissé une impression amère, triste, pleine de regrets comme si l'auteur décrivait la vie qu'elle a elle-même menée étant jeune (elle est allé à Harvard, école où sont allés les protagonistes du livre).
Bref, ce livre est surtout la crise que traverse un père de famille de presque 60 ans quand le stress le rattrape, quand les circonstances bousculent son univers triste, borné et rigide, et lui font "péter les plombs".
Quatrième de Couverture :
La famille Van Meter est en effervescence sur la très select île de Waskeke : Daphnée, la fille aînée, se marie ! Tous goûtent le luxe et l'extravagance de ce mariage de princesse, seul son père arbore une mine maussade ... Il n'apprécie guère de voir sa fille très enceinte s'afficher en robe virginale et supporte difficilement les commentaires gras et les discours de ses proches. Deux jours à tenir au milieu des froufrous ... Mais d'incidents en scandales, rien ne se passera comme prévu !
Mon avis :
très déçue ... car l'histoire ne correspond en rien à ce que je m'attendais.
Encore un roman que celui qui a rédigé la quatrième de couverture n'a pas lu de toute évidence ! pas de commentaires gras sur la fille enceinte, peu de discours des proches sur des potins ou autres, juste une page sur le plan de table (titre franchement mal choisi).
Je m'attendais à une histoire sur l'organisation d'un mariage mondain, avec tous les tracas du fameux plan de table, et tout un tas de scandales ou imprévus qui le remettraient en question sans arrêt, et avec, cerise sur le gâteau, des clashs non attendus le jour J.
Et bien rien de tout ça. Et rien de drôle, mais alors rien du tout.
En fait, c'est une description très pessimiste, très critique voire méprisante d'une certaine classe américaine, ces WASP avec leurs clans liés à l'école qu'ils ont fréquentée, liés à leurs Clubs (concept très british), et leur conception du comportement d'un gentleman ou d'une femme de gentleman (là aussi, conception toute victorienne), bref de cette classe que l'auteur qualifie d'Aristocratie Américaine.
Cette lecture m'a laissé une impression amère, triste, pleine de regrets comme si l'auteur décrivait la vie qu'elle a elle-même menée étant jeune (elle est allé à Harvard, école où sont allés les protagonistes du livre).
Bref, ce livre est surtout la crise que traverse un père de famille de presque 60 ans quand le stress le rattrape, quand les circonstances bousculent son univers triste, borné et rigide, et lui font "péter les plombs".