L'affaire Kodra.
Edition Rivages et Payots - 230 pages.
Mon résumé :
Nous sommes à Milan, dans les années 70. Une femme meurt lors d’un accident de voiture. Mais est-ce vraiment un accident ?
Mon avis :
L’affaire Kodra aurait dû rester une affaire banale, un accident de voiture, un délit de fuite et une malheureuse victime qui décède à l’hôpital. Seulement… le commissaire Ambrosio connaît bien le quartier, et il mène une enquête, discrète d’abord, officieuse ensuite puisqu’il n’est pas habilité à enquêter. Mais… on (ses supérieurs) lui donne le droit d’enquêter pendant ses congés.
Le rythme du roman n’est pas lent, il est posé. Le commissaire prend le temps qu’il faut pour parler, pour rechercher, pour connaître la victime et les personnes qui l’entourent. Il n’hésiterait pas, parfois , à user de subterfuge : la réalité le rattrape. Ambrosio est un homme paisible, qui se retrouve projeté non dans une affaire qui le dépasse, mais une affaire dont il n’avait pas imaginé les ramifications. Qui aurait pu ?
La force de ce roman est d’avoir fait de la victime une femme toute en nuance, qui a commis des erreurs, qui, selon l’expression consacrée, est allée là où son coeur l’a porté, et l’a payé très cher. Ambrosio est quant à lui un enquêteur charmant, que j’aimerai vraiment revoir dans une autre enquête.
Edition Rivages et Payots - 230 pages.
Mon résumé :
Nous sommes à Milan, dans les années 70. Une femme meurt lors d’un accident de voiture. Mais est-ce vraiment un accident ?
Mon avis :
L’affaire Kodra aurait dû rester une affaire banale, un accident de voiture, un délit de fuite et une malheureuse victime qui décède à l’hôpital. Seulement… le commissaire Ambrosio connaît bien le quartier, et il mène une enquête, discrète d’abord, officieuse ensuite puisqu’il n’est pas habilité à enquêter. Mais… on (ses supérieurs) lui donne le droit d’enquêter pendant ses congés.
Le rythme du roman n’est pas lent, il est posé. Le commissaire prend le temps qu’il faut pour parler, pour rechercher, pour connaître la victime et les personnes qui l’entourent. Il n’hésiterait pas, parfois , à user de subterfuge : la réalité le rattrape. Ambrosio est un homme paisible, qui se retrouve projeté non dans une affaire qui le dépasse, mais une affaire dont il n’avait pas imaginé les ramifications. Qui aurait pu ?
La force de ce roman est d’avoir fait de la victime une femme toute en nuance, qui a commis des erreurs, qui, selon l’expression consacrée, est allée là où son coeur l’a porté, et l’a payé très cher. Ambrosio est quant à lui un enquêteur charmant, que j’aimerai vraiment revoir dans une autre enquête.