Martial DEBRIFFE
Les adieux à Carola
485 pages
Résumé :
De la guerre de 1870 à la montée du nazisme en passant par la guerre de 1914-1918, les tribulations d'une famille juive alsacienne prise dans le tourbillon de l'histoire, mais aussi dans la tourmente de ses sentiments et ressentiments... Une saga historique où se mêlent conflits politiques, amour, passion, jalousie, haine et désir de vengeance...
Strasbourg, 1869. Afin de sauver l'honneur de sa fille Sarah, qui a succombé aux plaisirs de l'amour, Rebecca Finkelstein lui trouve un époux complaisant, Samuel Bilderberg. En contrepartie de son silence, elle le nomme gérant de l'entreprise familiale, une fabrique de bougies. Le jeune couple donne naissance à une petite fille, Carola, mais l'harmonie est de courte durée. Alors que Rebecca croit pouvoir mener son gendre à sa guise, ce dernier se révèle plus retors que prévu et prend un malin plaisir à troubler l'ordre établi. Aurait-il quelques comptes à régler avec les Finkelstein ?
Dès lors, le destin de cette dynastie juive alsacienne va basculer, inexorablement malmené par les amours contrariées et les mésententes, les trahisons et la soif de vengeance...
De Strasbourg à New York en passant par Munich, de la guerre de 1870 à celle de 1914-1918, puis aux années sombres de 1930 avec la montée du nazisme, la vie tourmentée d'une famille, emportée sur trois générations dans le tourbillon des sentiments et les aléas de l'Histoire. Un roman ample et intense, plein de fantaisie, dans lequel Martial Debriffe nous fait revivre avec passion les trois grandes périodes qui ont scellé le sort de l'Alsace.
Mon avis :
Une fresque familiale se déroulant de 1869 à 1934.
On y découvre une galerie de portraits, allant de Samuel, le mari de l'héroïne Sarah, un mari volage et calculateur, puis ensuite, l'auteur s'attardera sur le destin de la fille de Sarah : Carola.
C'est bien écrit, la saga familiale est passionnante, on découvre le statut particulier de l'Alsace après la guerre de 1871.
Un seul regret : que le livre s'arrête trop vite. En effet, une suite aurait été la bienvenue, pour savoir ce qui se serait passé après 1934 pour les héros. Des ellipses de temps assez importants (de 2 à 10 ans) sont un peu dommage, je trouve, il y avait matière à en raconter plus.
Un moment agréable de lecture. Dommage pour la fin ouverte, qui demanderait une suite.
Les adieux à Carola
485 pages
Résumé :
De la guerre de 1870 à la montée du nazisme en passant par la guerre de 1914-1918, les tribulations d'une famille juive alsacienne prise dans le tourbillon de l'histoire, mais aussi dans la tourmente de ses sentiments et ressentiments... Une saga historique où se mêlent conflits politiques, amour, passion, jalousie, haine et désir de vengeance...
Strasbourg, 1869. Afin de sauver l'honneur de sa fille Sarah, qui a succombé aux plaisirs de l'amour, Rebecca Finkelstein lui trouve un époux complaisant, Samuel Bilderberg. En contrepartie de son silence, elle le nomme gérant de l'entreprise familiale, une fabrique de bougies. Le jeune couple donne naissance à une petite fille, Carola, mais l'harmonie est de courte durée. Alors que Rebecca croit pouvoir mener son gendre à sa guise, ce dernier se révèle plus retors que prévu et prend un malin plaisir à troubler l'ordre établi. Aurait-il quelques comptes à régler avec les Finkelstein ?
Dès lors, le destin de cette dynastie juive alsacienne va basculer, inexorablement malmené par les amours contrariées et les mésententes, les trahisons et la soif de vengeance...
De Strasbourg à New York en passant par Munich, de la guerre de 1870 à celle de 1914-1918, puis aux années sombres de 1930 avec la montée du nazisme, la vie tourmentée d'une famille, emportée sur trois générations dans le tourbillon des sentiments et les aléas de l'Histoire. Un roman ample et intense, plein de fantaisie, dans lequel Martial Debriffe nous fait revivre avec passion les trois grandes périodes qui ont scellé le sort de l'Alsace.
Mon avis :
Une fresque familiale se déroulant de 1869 à 1934.
On y découvre une galerie de portraits, allant de Samuel, le mari de l'héroïne Sarah, un mari volage et calculateur, puis ensuite, l'auteur s'attardera sur le destin de la fille de Sarah : Carola.
C'est bien écrit, la saga familiale est passionnante, on découvre le statut particulier de l'Alsace après la guerre de 1871.
Un seul regret : que le livre s'arrête trop vite. En effet, une suite aurait été la bienvenue, pour savoir ce qui se serait passé après 1934 pour les héros. Des ellipses de temps assez importants (de 2 à 10 ans) sont un peu dommage, je trouve, il y avait matière à en raconter plus.
Un moment agréable de lecture. Dommage pour la fin ouverte, qui demanderait une suite.