COMMENT BRAQUER UNE BANQUE SANS PERDRE SON DENTIER
Roman édité chez Pocket en février 2015
480 pages
Résumé
Ils sont trois femmes, deux hommes : Märtha, Stina, Anna-Greta, le Génie, et le Râteau, chacun 80 ans au compteur. Ils chantent dans la même chorale et dépérissent dans la même maison de retraite à Stockholm. Nourriture insipide, traitement lamentable, restrictions constantes, pas étonnant que les résidents passent l'arme à gauche... Ils ne vivront pas un jour de plus dans ce mouroir. Un brin rebelles et idéalistes, les cinq comparses décident de se lancer dans le grand banditisme. Avec leurs cheveux blancs et leurs déambulateurs, ils s'apprêtent à commettre le casse du siècle. Mais l'aventure s'emballe et rien ne va se passer comme prévu... " Ce récit très bien ficelé se dévore et amuse. " Le Parisien " Quelle énergie chez ces joyeux drilles ! " ELLE
Mon ressenti
Une belle histoire d’amitié et de solidarité avec ce club des cinq d’octogénaires : ils sont attachants, inventifs, plus rien à perdre et à réaliser leurs derniers rêves. Ensemble, déterminés ils vont s’en payer une bonne tranche.
Un livre qui traite avec légèreté la vieillesse, notre devenir dans la société et la place que nous laissons à ces anciens. Quel sens donné à sa vie lorsqu’on est des oubliés de la société ? Quel poids a-t-on ? A partir d’un certain âge, la personne devient transparente et n’a plus de voix, les autres décident pour elle… est-ce cela que je veux pour moi-même ? Pas réjouissant, non !
Un livre sans prétention qui avec humour, donne à voir au travers du prisme de la transgression et de l’image de soi, l’envers d’un décor auquel nous serons tous sans exception, confronté tôt ou tard.
J’ai aimé passé de bons moments avec ces hommes et ces femmes d’un certain âge.
A découvrir
Roman édité chez Pocket en février 2015
480 pages
Résumé
Ils sont trois femmes, deux hommes : Märtha, Stina, Anna-Greta, le Génie, et le Râteau, chacun 80 ans au compteur. Ils chantent dans la même chorale et dépérissent dans la même maison de retraite à Stockholm. Nourriture insipide, traitement lamentable, restrictions constantes, pas étonnant que les résidents passent l'arme à gauche... Ils ne vivront pas un jour de plus dans ce mouroir. Un brin rebelles et idéalistes, les cinq comparses décident de se lancer dans le grand banditisme. Avec leurs cheveux blancs et leurs déambulateurs, ils s'apprêtent à commettre le casse du siècle. Mais l'aventure s'emballe et rien ne va se passer comme prévu... " Ce récit très bien ficelé se dévore et amuse. " Le Parisien " Quelle énergie chez ces joyeux drilles ! " ELLE
Mon ressenti
Une belle histoire d’amitié et de solidarité avec ce club des cinq d’octogénaires : ils sont attachants, inventifs, plus rien à perdre et à réaliser leurs derniers rêves. Ensemble, déterminés ils vont s’en payer une bonne tranche.
Un livre qui traite avec légèreté la vieillesse, notre devenir dans la société et la place que nous laissons à ces anciens. Quel sens donné à sa vie lorsqu’on est des oubliés de la société ? Quel poids a-t-on ? A partir d’un certain âge, la personne devient transparente et n’a plus de voix, les autres décident pour elle… est-ce cela que je veux pour moi-même ? Pas réjouissant, non !
Un livre sans prétention qui avec humour, donne à voir au travers du prisme de la transgression et de l’image de soi, l’envers d’un décor auquel nous serons tous sans exception, confronté tôt ou tard.
J’ai aimé passé de bons moments avec ces hommes et ces femmes d’un certain âge.
A découvrir