Gwendoline HAMON
Les dieux sont vaches
Résumé :
Quand Zélie apprend soudainement que Caroline, sa mère, est gravement malade, son monde s'écroule. Cette mère un peu folledingue, si singulière, qui l'a empêchée jusqu'à présent de se sentir «normale » aux yeux des autres et à ses propres yeux ne peut pas s'en aller « normalement » comme Madame tout le monde. Elle avait un père écrivain très connu, une mère metteur en scène de talent. Elle a été maman et épouse très jeune : l'Afrique, ses deux filles, ses amants...
mais surtout sa tête était pleine de rêves qui n'appartenaient qu à elle ; des lubies, des manies. Elle croyait aux énergies, aux forces divines et souterraines, aux médiums étranges. Elle suspendait un pendule au-dessus de la tête de ses futurs gendres et imaginait des prénoms d'indiens pour ses petits-enfants. Tellement en marge qu'elle en était aussi merveilleuse que cruelle. Forcément, les deux derniers mois
passés ensemble seront différents. Et, ils le seront, grâce à un humour décapant que partagent la mère et la fille.
Gwendoline Hamon nous raconte, sa mère, son destin hors du commun et à travers elle, l'histoire de cette famille pas comme les autres, réunie, soudée autour de cette femme fascinante au moment de sa disparition, pendant ces soixante neuf jours où les dieux ont été un peu vaches.
« Elle est partie comme elle a vécu sa vie, bizarrement. Elle nous a encore surprises, nous a encore fait pleurer, mais nous a légué une richesse rare, une liberté absolue : "la légèreté de l'humour". »
Mon avis :
Un beau récit autobiographique où la comédienne, petite-fille de Jean Anouilh, nous fait part de sa relation avec sa mère, qui a connu des hauts et des bas (surtout des bas) mais elle va, malgré tout, être à son chevet jusqu'à sa disparition.
Elle nous narre son enfance avec cette mère qui réserve un traitement de faveur à ses autres enfants, et laisse de côté Gwendoline, en tout cas, c'est le ressenti de l'auteure.
Elle va découvrir des choses qu'elle ignorait sur sa mère.
On revit tous les moments joyeux avec sa mère aussi, ses bizarreries (croyances, superstitions...), son caractère bien affirmé.
Un très beau récit qui se veut toujours enthousiaste, malgré le sujet du livre, pa de pathos, une émotion présente, certes, surtout au moment de l'enterrement, mais on rit beaucoup aussi.
Bref, un coup de cœur pour cette belle découverte.
Les dieux sont vaches
Résumé :
Quand Zélie apprend soudainement que Caroline, sa mère, est gravement malade, son monde s'écroule. Cette mère un peu folledingue, si singulière, qui l'a empêchée jusqu'à présent de se sentir «normale » aux yeux des autres et à ses propres yeux ne peut pas s'en aller « normalement » comme Madame tout le monde. Elle avait un père écrivain très connu, une mère metteur en scène de talent. Elle a été maman et épouse très jeune : l'Afrique, ses deux filles, ses amants...
mais surtout sa tête était pleine de rêves qui n'appartenaient qu à elle ; des lubies, des manies. Elle croyait aux énergies, aux forces divines et souterraines, aux médiums étranges. Elle suspendait un pendule au-dessus de la tête de ses futurs gendres et imaginait des prénoms d'indiens pour ses petits-enfants. Tellement en marge qu'elle en était aussi merveilleuse que cruelle. Forcément, les deux derniers mois
passés ensemble seront différents. Et, ils le seront, grâce à un humour décapant que partagent la mère et la fille.
Gwendoline Hamon nous raconte, sa mère, son destin hors du commun et à travers elle, l'histoire de cette famille pas comme les autres, réunie, soudée autour de cette femme fascinante au moment de sa disparition, pendant ces soixante neuf jours où les dieux ont été un peu vaches.
« Elle est partie comme elle a vécu sa vie, bizarrement. Elle nous a encore surprises, nous a encore fait pleurer, mais nous a légué une richesse rare, une liberté absolue : "la légèreté de l'humour". »
Mon avis :
Un beau récit autobiographique où la comédienne, petite-fille de Jean Anouilh, nous fait part de sa relation avec sa mère, qui a connu des hauts et des bas (surtout des bas) mais elle va, malgré tout, être à son chevet jusqu'à sa disparition.
Elle nous narre son enfance avec cette mère qui réserve un traitement de faveur à ses autres enfants, et laisse de côté Gwendoline, en tout cas, c'est le ressenti de l'auteure.
Elle va découvrir des choses qu'elle ignorait sur sa mère.
On revit tous les moments joyeux avec sa mère aussi, ses bizarreries (croyances, superstitions...), son caractère bien affirmé.
Un très beau récit qui se veut toujours enthousiaste, malgré le sujet du livre, pa de pathos, une émotion présente, certes, surtout au moment de l'enterrement, mais on rit beaucoup aussi.
Bref, un coup de cœur pour cette belle découverte.