[ltr]Madame, Monsieur, qui que vous soyez, où que vous viviez, entrez Adulte ou comme moi atteint du syndrome « Peter Paon » ni oiseau, ni migrateur, mais de furieux coups de vent m’ont fait m’envoler vers la folie d’écrire des suites de mots, sans carte géographique, un Atlas dans la tête, je tremble de plaisir en ouvrant « Un Regard vers l’Orient » un livre de poésie rare aux Editions du Pont de l’Europe, la couverture est flamboyante, comme le ramage, mi-ange, mi-démon, qui hante la plume de son auteur.[/ltr]
[ltr]Oyez oyez ! Osez entrer dans ce livre, ce recueil sans écueil, fin et soigné, lisez ce message, cette bouteille qui trouvera, je l’espère, son courant d’air frais, son « gulf stream » pour arriver au Finistère, et partout en France sur mer, plaine, ou montagne. Son écho. Et donne une L majuscule aux lettres vivantes. Ici de chez moi, fenêtres aux vents ouvertes, l’esprit en alerte, puisque mon monde se situe au bout du monde, la tête de la « pen ar bed » né breton, là où je lis dans mon nid, le lit de ce grand livre. L’auteur y puise son courant dans de multiples veines, mille tulipes, dirais-je, Rimbaud ne sera jamais Minuscule, besoin de personne pour écrire ses dix-sept-ans, il composait l’ivresse du navire tant sa vie basculait jeune et tendre sans quille, des coups de gîte et de tabac à mis bat, ce coup de chapeau. Plus étonnant de ton et de parole du neuf trois en compagnie de, que dis-je du Majuscule contemporain « Grand Corps Malade » de sa citation vient le nom du premier chapitre. « Un Regard vers l’Orient » c’est une promenade au cœur et au corps de son cœur, sa cervelle navigue sur les phares de l’Ouest, née au creux d’un volcan qui marque son identité, même masquée ; moi, je vis à Brest et j’ouvre mes yeux, seul au port, et je ne regarde plus que mes confrères voler, voler une île ici. Ouessant est mon île, mon Hêtre s’exprime d’un aber, celui du Saint Ildut, Haïti ses racines à Raynaldo, ne voyez pas en moi mes canines, ici pas de crime, pas de glace pour ceux qui acceptent de voir la page 2 sur les 174 pages, une image qui parle, que vous soyez de n’importe quelle confession, athée, animiste, ou agnostique, restez libre de chercher le beau, soyez esthète, et fin. Ce livre n’est pas un simple verre dans un rade où l’on parle de ses conquêtes, lieu où l’on pêche souvent par absence de soleil, miroir, le soir de l’avis de tempête, parlons-en, ou dans une rade de Brest ou d’ailleurs, du Sud, de l’Ouest, à l’ Est, ne perdez pas le Nord, osez oyé oyé jeunes gens entrer dans son multivers, sa corde sensible, l’univers de Raynaldo Pierre Louis est caméléon, un serpent-couleuvre son œuvre s’ouvre où je vous invite à lire le petit mot de l’auteur, ce message aux multiples vers, non pas une bouteille grappe fleurie, pas du picrate, ici vous êtes dans un vin divin, un grand cru ![/ltr]
[ltr]Soyez, enfin ne soyez pas de soie, ni pudibond, l’homme a de la ressource acceptez pour une fois voyeur et à la fois voyageur, sans voile de pudeur, il donne son âme car Raynaldo Pierre Louis est assurément un grand dans cette case qui définit le poète celui qui vous fait rester enfant, il calcule chaque mot, chaque virgule, et se fait rare comme l’oiseau nous permet de rêver, de s’élever au ciel, sans mourir. Au fond de mon verre d’eau, je me sens pas si loin de ce jeune Homme, notre regard est triste de voir nos nuages, terre à terre, quand nous violons nos âmes, nous forçant à sourire quand la mort vit dans notre fond, sans gloire, nos sanglots sonnent et résonnent, mais place à ce jeune homme d’Haïti auteur de plusieurs recueils que vous trouvez facilement sur la toile aux étoiles, laissez-le parler, moi, je me tais et reste humble face à la nature et peu en phase en compagnie de la nature Humaine, je cite ses premiers mots : « Je cherche autre chose pour mon âme fatiguée, et… par accident, j’ai croisé la poésie, elle m’accueille… Mais si je suis trop attentif au chaos du monde, je ne serai jamais heureux. Alors je crève mes yeux pour ne plus rien voir, la cire dans mes oreilles, je marche au bout de moi-même au seuil d’une autre lumière, juste cachée là à l’intérieur » : le poète est celui qui voit derrière les nuages une étincelle, j’aime ses titres ; p.20 « Dans la fugacité des lueurs »… Je me tais place au poète, sortez de l’Occident ouvrez, en confiance, sans accident « Un Regard vers l’Orient ». Dans ce livre si singulier cet auteur majeur du second millénaire Raynaldo Pierre Louis saura vous surprendre.[/ltr]
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[ltr]Oyez oyez ! Osez entrer dans ce livre, ce recueil sans écueil, fin et soigné, lisez ce message, cette bouteille qui trouvera, je l’espère, son courant d’air frais, son « gulf stream » pour arriver au Finistère, et partout en France sur mer, plaine, ou montagne. Son écho. Et donne une L majuscule aux lettres vivantes. Ici de chez moi, fenêtres aux vents ouvertes, l’esprit en alerte, puisque mon monde se situe au bout du monde, la tête de la « pen ar bed » né breton, là où je lis dans mon nid, le lit de ce grand livre. L’auteur y puise son courant dans de multiples veines, mille tulipes, dirais-je, Rimbaud ne sera jamais Minuscule, besoin de personne pour écrire ses dix-sept-ans, il composait l’ivresse du navire tant sa vie basculait jeune et tendre sans quille, des coups de gîte et de tabac à mis bat, ce coup de chapeau. Plus étonnant de ton et de parole du neuf trois en compagnie de, que dis-je du Majuscule contemporain « Grand Corps Malade » de sa citation vient le nom du premier chapitre. « Un Regard vers l’Orient » c’est une promenade au cœur et au corps de son cœur, sa cervelle navigue sur les phares de l’Ouest, née au creux d’un volcan qui marque son identité, même masquée ; moi, je vis à Brest et j’ouvre mes yeux, seul au port, et je ne regarde plus que mes confrères voler, voler une île ici. Ouessant est mon île, mon Hêtre s’exprime d’un aber, celui du Saint Ildut, Haïti ses racines à Raynaldo, ne voyez pas en moi mes canines, ici pas de crime, pas de glace pour ceux qui acceptent de voir la page 2 sur les 174 pages, une image qui parle, que vous soyez de n’importe quelle confession, athée, animiste, ou agnostique, restez libre de chercher le beau, soyez esthète, et fin. Ce livre n’est pas un simple verre dans un rade où l’on parle de ses conquêtes, lieu où l’on pêche souvent par absence de soleil, miroir, le soir de l’avis de tempête, parlons-en, ou dans une rade de Brest ou d’ailleurs, du Sud, de l’Ouest, à l’ Est, ne perdez pas le Nord, osez oyé oyé jeunes gens entrer dans son multivers, sa corde sensible, l’univers de Raynaldo Pierre Louis est caméléon, un serpent-couleuvre son œuvre s’ouvre où je vous invite à lire le petit mot de l’auteur, ce message aux multiples vers, non pas une bouteille grappe fleurie, pas du picrate, ici vous êtes dans un vin divin, un grand cru ![/ltr]
[ltr]Soyez, enfin ne soyez pas de soie, ni pudibond, l’homme a de la ressource acceptez pour une fois voyeur et à la fois voyageur, sans voile de pudeur, il donne son âme car Raynaldo Pierre Louis est assurément un grand dans cette case qui définit le poète celui qui vous fait rester enfant, il calcule chaque mot, chaque virgule, et se fait rare comme l’oiseau nous permet de rêver, de s’élever au ciel, sans mourir. Au fond de mon verre d’eau, je me sens pas si loin de ce jeune Homme, notre regard est triste de voir nos nuages, terre à terre, quand nous violons nos âmes, nous forçant à sourire quand la mort vit dans notre fond, sans gloire, nos sanglots sonnent et résonnent, mais place à ce jeune homme d’Haïti auteur de plusieurs recueils que vous trouvez facilement sur la toile aux étoiles, laissez-le parler, moi, je me tais et reste humble face à la nature et peu en phase en compagnie de la nature Humaine, je cite ses premiers mots : « Je cherche autre chose pour mon âme fatiguée, et… par accident, j’ai croisé la poésie, elle m’accueille… Mais si je suis trop attentif au chaos du monde, je ne serai jamais heureux. Alors je crève mes yeux pour ne plus rien voir, la cire dans mes oreilles, je marche au bout de moi-même au seuil d’une autre lumière, juste cachée là à l’intérieur » : le poète est celui qui voit derrière les nuages une étincelle, j’aime ses titres ; p.20 « Dans la fugacité des lueurs »… Je me tais place au poète, sortez de l’Occident ouvrez, en confiance, sans accident « Un Regard vers l’Orient ». Dans ce livre si singulier cet auteur majeur du second millénaire Raynaldo Pierre Louis saura vous surprendre.[/ltr]
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