Fairy Oak, tome 1 : le secret des jumelles.
Edition Kennes - 504 pages
Présentation de l’éditeur :
À Fairy Oak, depuis plus de mille ans, quand sonne minuit, de minuscules fées lumineuses racontent des histoires de petits enfants à des sorcières attentives. Insolite, n’est-ce pas ?! Chacun sait en effet que les fées et les sorcières ne s’entendent pas très bien et que ces dernières n’aiment pas du tout les enfants. Mais nous sommes dans la Vallée de Verte-Plaine, dans le village de Fairy Oak, et ici, les choses ne se passent pas comme ailleurs…
Mon avis :
Si vous aimez les fées et la douceur, ce roman de littérature jeunesse est fait pour vous, et, si vous en avez autour de vous, pour de jeunes lecteurs. J’ai vraiment passé un très bon moment de lecture en compagnie de Vanilla et Pervinca, et surtout, en compagnie de leur fée-nounou, Féli, absolument charmante.
L’action se passe dans une vallée paisible, où les magiques et les non-magiques cohabitent sans problème – sans plus de problème que dans une communauté des plus ordinaires. Il n’est pas obligatoire de devenir une sorcière, même si on possède des pouvoirs. Ainsi, la maman des jumelles a renoncé aux siens pour épouser l’homme qu’elle aime. Elle a mis au monde des jumelles, et leur grande-tante Lalla Tomelilla guette les signes qui prouveraient qu’elles ont hérité de ses pouvoirs magiques. Et oui, dans la jolie vallée de Fairy Oak, les pouvoirs se transmettent de tante à nièce. Bref, rien, rien de rien, le désespoir pointe quand, après un récit très précis de Fémi, Tomelilla se rend compte que :
– Babou (diminutif de Vanilla) a des pouvoirs.
– Féli ne sait pas vraiment détecter les indices prouvant l’existence de pouvoirs.
– Vi (diminutif de Pervinca) n’en a pas, et les deux soeurs devront être séparés, puisqu’il est impossible d’élever ensemble magiques et non-magiques. Une difficulté qu’il faudra résoudre – les parents n’entendent pas séparer leurs filles. La difficulté sera résolue, cependant, et d’une manière assez étonnante, pour qui, comme moi, s’est laissée porter par le récit, et cette enchaînement de situations qui paraissaient presque banales.
Presque, parce que les signes sont là, pourtant, que tout ne restera pas si rose. Un danger guette, comme de petites touches présentes dans le récit nous le montre. Rien ne sera raconté, pourtant, qui puisse choquer de jeunes lecteurs. Tout est suggéré plus que décrit, notamment le grand combat final. Certains pourront le regretter, mais, pour une fois, n’est-ce pas mieux d’imaginer puisque le lecteur sait ce que leur adversaire fait à ses victimes. Reste, cependant, à déterminer qui est réellement l’adversaire.
Fairy Oak est un roman très réussi, qui enchantera les jeunes lecteurs. J’ajoute que les illustrations sont très réussies également.
Edition Kennes - 504 pages
Présentation de l’éditeur :
À Fairy Oak, depuis plus de mille ans, quand sonne minuit, de minuscules fées lumineuses racontent des histoires de petits enfants à des sorcières attentives. Insolite, n’est-ce pas ?! Chacun sait en effet que les fées et les sorcières ne s’entendent pas très bien et que ces dernières n’aiment pas du tout les enfants. Mais nous sommes dans la Vallée de Verte-Plaine, dans le village de Fairy Oak, et ici, les choses ne se passent pas comme ailleurs…
Mon avis :
Si vous aimez les fées et la douceur, ce roman de littérature jeunesse est fait pour vous, et, si vous en avez autour de vous, pour de jeunes lecteurs. J’ai vraiment passé un très bon moment de lecture en compagnie de Vanilla et Pervinca, et surtout, en compagnie de leur fée-nounou, Féli, absolument charmante.
L’action se passe dans une vallée paisible, où les magiques et les non-magiques cohabitent sans problème – sans plus de problème que dans une communauté des plus ordinaires. Il n’est pas obligatoire de devenir une sorcière, même si on possède des pouvoirs. Ainsi, la maman des jumelles a renoncé aux siens pour épouser l’homme qu’elle aime. Elle a mis au monde des jumelles, et leur grande-tante Lalla Tomelilla guette les signes qui prouveraient qu’elles ont hérité de ses pouvoirs magiques. Et oui, dans la jolie vallée de Fairy Oak, les pouvoirs se transmettent de tante à nièce. Bref, rien, rien de rien, le désespoir pointe quand, après un récit très précis de Fémi, Tomelilla se rend compte que :
– Babou (diminutif de Vanilla) a des pouvoirs.
– Féli ne sait pas vraiment détecter les indices prouvant l’existence de pouvoirs.
– Vi (diminutif de Pervinca) n’en a pas, et les deux soeurs devront être séparés, puisqu’il est impossible d’élever ensemble magiques et non-magiques. Une difficulté qu’il faudra résoudre – les parents n’entendent pas séparer leurs filles. La difficulté sera résolue, cependant, et d’une manière assez étonnante, pour qui, comme moi, s’est laissée porter par le récit, et cette enchaînement de situations qui paraissaient presque banales.
Presque, parce que les signes sont là, pourtant, que tout ne restera pas si rose. Un danger guette, comme de petites touches présentes dans le récit nous le montre. Rien ne sera raconté, pourtant, qui puisse choquer de jeunes lecteurs. Tout est suggéré plus que décrit, notamment le grand combat final. Certains pourront le regretter, mais, pour une fois, n’est-ce pas mieux d’imaginer puisque le lecteur sait ce que leur adversaire fait à ses victimes. Reste, cependant, à déterminer qui est réellement l’adversaire.
Fairy Oak est un roman très réussi, qui enchantera les jeunes lecteurs. J’ajoute que les illustrations sont très réussies également.