HAUT LES CŒURS
Récit, édité chez Acte Sud en octobre 1999
149 pages
Résumé
Alors qu’ils attendent un enfant, Emma et Simon (la trentaine) basculent brusquement dans un monde inattendu et inconnu : celui des hôpitaux, des médecins, avec leurs diagnostics contradictoires, et de la maladie qu’il faut combattre à tout prix.
C’est dans la chambre stérile d’un hôpital que la réalisatrice Solveig Anspach avait jeté sur le papier quelques lignes d’une histoire, la sienne.
Elle fit ensuite appel à Pierre Erwan Guillaume pour élaborer ensemble le scénario de ce qui allait devenir Haut les cœurs !
Ce récit éponyme, écrit après coup, dans une langue et avec la sensibilité d’aujourd’hui, narre une histoire de notre temps.
Une histoire de « guerre » et d’amour.
Mon ressenti
La vie trouve toujours son chemin. Haut les cœurs, oui, il le faut pour tenir et mener à bien deux combats de poids. Anna attend son premier enfant, c’est un heureux moment. Dans le même temps, on lui apprend qu’elle a un cancer du sein. Deux options s’offrent à elle : avorter pour se faire soigner, ou mourir… 30 ans, le ciel lui tombe sur la tête mais sa décision est prise. Il existe un autre possible.
Anna retrace sa lutte au quotidien, ses relations avec son compagnon et futur papa qui est toujours étudiant et ses relations avec le monde médical. Emportés par ce tourbillon, le couple se confronte et se découvre un peu plus. L’univers médical qui peut être chaleureux du fait des hommes et des femmes qui le compose, se montre implacable face à la logique. Le chemin est long et périlleux pour mère et futur bébé, jour après jour, il faut avancer…
C’est l’histoire de Solveig, son parcours. C’est un livre qui donne une belle leçon de vie, d’humanité et d’espoir. Merci pour ce partage.
Je vous conseille aussi fortement le film avec Karin Viar
A découvrir
Récit, édité chez Acte Sud en octobre 1999
149 pages
Résumé
Alors qu’ils attendent un enfant, Emma et Simon (la trentaine) basculent brusquement dans un monde inattendu et inconnu : celui des hôpitaux, des médecins, avec leurs diagnostics contradictoires, et de la maladie qu’il faut combattre à tout prix.
C’est dans la chambre stérile d’un hôpital que la réalisatrice Solveig Anspach avait jeté sur le papier quelques lignes d’une histoire, la sienne.
Elle fit ensuite appel à Pierre Erwan Guillaume pour élaborer ensemble le scénario de ce qui allait devenir Haut les cœurs !
Ce récit éponyme, écrit après coup, dans une langue et avec la sensibilité d’aujourd’hui, narre une histoire de notre temps.
Une histoire de « guerre » et d’amour.
Mon ressenti
La vie trouve toujours son chemin. Haut les cœurs, oui, il le faut pour tenir et mener à bien deux combats de poids. Anna attend son premier enfant, c’est un heureux moment. Dans le même temps, on lui apprend qu’elle a un cancer du sein. Deux options s’offrent à elle : avorter pour se faire soigner, ou mourir… 30 ans, le ciel lui tombe sur la tête mais sa décision est prise. Il existe un autre possible.
Anna retrace sa lutte au quotidien, ses relations avec son compagnon et futur papa qui est toujours étudiant et ses relations avec le monde médical. Emportés par ce tourbillon, le couple se confronte et se découvre un peu plus. L’univers médical qui peut être chaleureux du fait des hommes et des femmes qui le compose, se montre implacable face à la logique. Le chemin est long et périlleux pour mère et futur bébé, jour après jour, il faut avancer…
C’est l’histoire de Solveig, son parcours. C’est un livre qui donne une belle leçon de vie, d’humanité et d’espoir. Merci pour ce partage.
Je vous conseille aussi fortement le film avec Karin Viar
A découvrir