Jason HEWITT
Le silence des bombes
375 pages
Résumé :
Juillet 1940. La petite Lydia, 11 ans, traverse un village du Suffolk. Elle porte un masque à gaz. Les magasins sont fermés, les maisons vides, les fenêtres condamnées. Lydia coupe à travers champs et arrive bientôt devant une grande demeure. C'est là qu'elle a grandi. La fillette espère y retrouver sa famille, mais la maison est déserte. Plus tard, dans la nuit, un soldat portant un fusil et un uniforme anglais pénètre dans la maison. Avec un étrange accent, il lui explique qu'il ne lui fera pas de mal, mais qu'elle ne doit pas quitter les lieux et qu'elle doit obéir à certaines règles... Dit-il la vérité ? Que cherche-t-il ? Pourquoi lui semble-t-il aussi familier ? Et surtout, comment connaît-il le nom de Lydia ?
Aussi envoûtant que déchirant, un magnifique roman où le fracas de la guerre rencontre l'émotion des destins brisés. Entremêlant petite et grande histoire, Le Silence des bombes pose la question de la possibilité de la rédemption, et de ce qui nous fait garder, ou pas, notre part d'humanité.
"Un premier roman d'une maîtrise stupéfiante" The Guardian
Mon avis :
Lydia, l'héroïne, après avoir été chez sa tante au pays de Galles, s'enfuit et préfère retourner chez sa mère. Mais sa mère n'est plus dans la maison familiale.
Que va-t-elle faire ? La question va vite être réglée lorsqu'un soldat débarque et veut la tuer. Finalement, il va la garder et en faire son otage.
Va s'ensuivre une relation difficile au début, et ensuite l'héroïne va presque s'attacher à son "kidnappeur".
Malgré le manque de dialogues, surtout au début, ce livre m'a plu.
Le silence des bombes
375 pages
Résumé :
Juillet 1940. La petite Lydia, 11 ans, traverse un village du Suffolk. Elle porte un masque à gaz. Les magasins sont fermés, les maisons vides, les fenêtres condamnées. Lydia coupe à travers champs et arrive bientôt devant une grande demeure. C'est là qu'elle a grandi. La fillette espère y retrouver sa famille, mais la maison est déserte. Plus tard, dans la nuit, un soldat portant un fusil et un uniforme anglais pénètre dans la maison. Avec un étrange accent, il lui explique qu'il ne lui fera pas de mal, mais qu'elle ne doit pas quitter les lieux et qu'elle doit obéir à certaines règles... Dit-il la vérité ? Que cherche-t-il ? Pourquoi lui semble-t-il aussi familier ? Et surtout, comment connaît-il le nom de Lydia ?
Aussi envoûtant que déchirant, un magnifique roman où le fracas de la guerre rencontre l'émotion des destins brisés. Entremêlant petite et grande histoire, Le Silence des bombes pose la question de la possibilité de la rédemption, et de ce qui nous fait garder, ou pas, notre part d'humanité.
"Un premier roman d'une maîtrise stupéfiante" The Guardian
Mon avis :
Lydia, l'héroïne, après avoir été chez sa tante au pays de Galles, s'enfuit et préfère retourner chez sa mère. Mais sa mère n'est plus dans la maison familiale.
Que va-t-elle faire ? La question va vite être réglée lorsqu'un soldat débarque et veut la tuer. Finalement, il va la garder et en faire son otage.
Va s'ensuivre une relation difficile au début, et ensuite l'héroïne va presque s'attacher à son "kidnappeur".
Malgré le manque de dialogues, surtout au début, ce livre m'a plu.