Flying Witch, tome 1
Edition Nobi Nobi.
Présentation de l’éditeur :
À son entrée au lycée, la jeune Makoto quitte la région de Tokyo pour le nord-est du Japon. Hébergée chez ses cousins Kei et Chinatsu, elle découvre les petits plaisirs d’une vie plus proche de la nature, où le temps semble s’écouler plus doucement. Mais le quotidien à la campagne ne s’annonce pas de tout repos pour autant, car Makoto est aussi une apprentie sorcière un peu étourdie !
Mon avis :
Deux choses m’ont attiré en découvrant ce manga : la couverture, qui présente un chat noir (voir le film Kiki la petite sorcière ) et la maison d’éditions, Nobi Nobi, que j’apprécie beaucoup.
L’histoire est toute mignonne, ou presque : Makoto est une jeune sorcière, dans un monde où les sorcières existent, certes, mais sont peu connues et vivent le plus souvent cachées. Aussi, quand Kei apprend à une amie lycéenne, Nao, que Makoto, en plus d’être une grande étourdie qui perd très souvent son chemin est mystico-para-ésotérique, et bien cela fait un peu désordre.
Nous ne sommes pas tout à fait dans le merveilleux, puisque la vie quotidienne compte autant, si ce n’est plus, que les apprentissages de la jeune sorcière. Ne se rend-elle pas dans un lycée des plus ordinaires avec son cousin ? Même si elle est considérée par les siens comme adulte, ses parents tiennent à ce qu’elle fasse des études. Ne participe-t-elle pas aux taches ménagères, de manière il est vrai parfois très peu conventionnelle ? Ainsi, elle a besoin, pour ses devoirs, de nombreux légumes. Elle obtient un terrain de son oncle et le laboure… Non, elle n’utilise pas la magie, mais elle suscite l’étonnement, par la manière dont elle s’y prend, chez sa jeune cousine Chinatsu, et ce n’est pas la seule fois que cela arrivera !
Comme toute sorcière qui se respecte, elle est accompagnée par son familier, qui la guide si elle se perd, et avec lequel elle communique très bien. Oui, c’est un chat noir, Chito, mais sa propre soeur possède un siamois, Kenny, et d’autres sorcières ont des familiers un peu moins montrables (araignées, etc….). Les deux soeurs ont un point commun : elles aiment faire des cadeaux et ceux-ci se révèlent souvent très originaux et très simples en même temps, comme un retour aux sources.
J’ai aimé que l’on respire dans ces dessins : nous sommes à la campagne, tout le monde se connaît mais personne ne se montre indiscret. Nous découvrons à la fois l’intérieur et l’extérieur des demeures, les champs, mais aussi le parler très particuliers des habitants. Nous découvrons aussi, tout de même, un peu de l’univers merveilleux auquel Makoto est attentive, notamment quand elle reçoit la visite du Printemps.
Flying witch, un manga en cinq volumes dont je lirai très certainement la suite.Edition Nobi Nobi.
Présentation de l’éditeur :
À son entrée au lycée, la jeune Makoto quitte la région de Tokyo pour le nord-est du Japon. Hébergée chez ses cousins Kei et Chinatsu, elle découvre les petits plaisirs d’une vie plus proche de la nature, où le temps semble s’écouler plus doucement. Mais le quotidien à la campagne ne s’annonce pas de tout repos pour autant, car Makoto est aussi une apprentie sorcière un peu étourdie !
Mon avis :
Deux choses m’ont attiré en découvrant ce manga : la couverture, qui présente un chat noir (voir le film Kiki la petite sorcière ) et la maison d’éditions, Nobi Nobi, que j’apprécie beaucoup.
L’histoire est toute mignonne, ou presque : Makoto est une jeune sorcière, dans un monde où les sorcières existent, certes, mais sont peu connues et vivent le plus souvent cachées. Aussi, quand Kei apprend à une amie lycéenne, Nao, que Makoto, en plus d’être une grande étourdie qui perd très souvent son chemin est mystico-para-ésotérique, et bien cela fait un peu désordre.
Nous ne sommes pas tout à fait dans le merveilleux, puisque la vie quotidienne compte autant, si ce n’est plus, que les apprentissages de la jeune sorcière. Ne se rend-elle pas dans un lycée des plus ordinaires avec son cousin ? Même si elle est considérée par les siens comme adulte, ses parents tiennent à ce qu’elle fasse des études. Ne participe-t-elle pas aux taches ménagères, de manière il est vrai parfois très peu conventionnelle ? Ainsi, elle a besoin, pour ses devoirs, de nombreux légumes. Elle obtient un terrain de son oncle et le laboure… Non, elle n’utilise pas la magie, mais elle suscite l’étonnement, par la manière dont elle s’y prend, chez sa jeune cousine Chinatsu, et ce n’est pas la seule fois que cela arrivera !
Comme toute sorcière qui se respecte, elle est accompagnée par son familier, qui la guide si elle se perd, et avec lequel elle communique très bien. Oui, c’est un chat noir, Chito, mais sa propre soeur possède un siamois, Kenny, et d’autres sorcières ont des familiers un peu moins montrables (araignées, etc….). Les deux soeurs ont un point commun : elles aiment faire des cadeaux et ceux-ci se révèlent souvent très originaux et très simples en même temps, comme un retour aux sources.
J’ai aimé que l’on respire dans ces dessins : nous sommes à la campagne, tout le monde se connaît mais personne ne se montre indiscret. Nous découvrons à la fois l’intérieur et l’extérieur des demeures, les champs, mais aussi le parler très particuliers des habitants. Nous découvrons aussi, tout de même, un peu de l’univers merveilleux auquel Makoto est attentive, notamment quand elle reçoit la visite du Printemps.