GAMMA
Roman édité aux éditions Baudelaire en mars 2017
178 pages
Résumé
Avez-vous déjà envisagé qu’un jour, vous pourriez vous retrouver seul ? Seul face à des choses que vous aviez toujours, secrètement, refusé d’admettre. Face à vos peurs ? Vos défaillances ? Vos faiblesses ?
Elle en a fait l’expérience.
L’opération Gamma peut commencer...
Enora, née en 2001, est animée par de nombreuses passions ainsi que de nombreux rêves. Une âme de littéraire dans une peau de scientifique... Et l’apanage de la jeunesse : tout est possible !
Mon ressenti
Gamma est une histoire générant un sentiment d’impatience et d’appréhension. La jeune auteure sait avec maestria mettre en place ce processus.
Elle met en scène des jeunes gens, tout juste majeurs qui arrivent à une étape de leur vie en passant un examen. Nous faisons la connaissance d’un groupe d’amis et plus particulièrement de deux jeunes femmes Abi et Cassandre qui nous font part de leurs attentes personnelles. C’est l’histoire d’Abi et de cette maladie qu’elle cache à tous mais et avant tout à elle. Ce fléau touche de plus en plus de jeunes (de plus en plus des 9/10 ans), confrontés aux mécanismes insidieux qui se mettent en place sans conscience au démarrage puisque bercés par l’adage « j’arrête quand je veux » !
En alternance, Abi et Cassandre font part de ce qu’elles vivent : pour la première c’est l’histoire vue de l’intérieure parce qu’elle la vit et pour la seconde c’est sa compréhension de l’histoire. Et puis, il y a Maxence et Danaé, jeunes hommes de la bande qui vont soutenir leurs deux amies.
Le livre se lit sans problème et rapidement. Certaines incohérences apparaissent dans le récit qui m’ont fait tiquée. Ces incohérences font que je ne suis pas rentrée à fond dans l’histoire. Ne vous trompez pas, entre mon âge et celui de l’auteure, il y a une expérience et un regard de la vie différente. Au mien, les nuances sont plus nombreuses qu’au sien. Par contre, à aucun moment, je me suis ennuyée. Le rythme est soutenu. En filigrane apparait qu’à leur âge, c’est celui de tous les possibles et où les fins se réécrivent à l’infini. C’est très bien suggéré dans l’histoire.
Toujours est-il que je la félicite et lui tire mon chapeau. Le talent est là et ne demande qu’à s’épanouir.
Une auteure à suivre
Roman édité aux éditions Baudelaire en mars 2017
178 pages
Résumé
Avez-vous déjà envisagé qu’un jour, vous pourriez vous retrouver seul ? Seul face à des choses que vous aviez toujours, secrètement, refusé d’admettre. Face à vos peurs ? Vos défaillances ? Vos faiblesses ?
Elle en a fait l’expérience.
L’opération Gamma peut commencer...
Enora, née en 2001, est animée par de nombreuses passions ainsi que de nombreux rêves. Une âme de littéraire dans une peau de scientifique... Et l’apanage de la jeunesse : tout est possible !
Mon ressenti
Gamma est une histoire générant un sentiment d’impatience et d’appréhension. La jeune auteure sait avec maestria mettre en place ce processus.
Elle met en scène des jeunes gens, tout juste majeurs qui arrivent à une étape de leur vie en passant un examen. Nous faisons la connaissance d’un groupe d’amis et plus particulièrement de deux jeunes femmes Abi et Cassandre qui nous font part de leurs attentes personnelles. C’est l’histoire d’Abi et de cette maladie qu’elle cache à tous mais et avant tout à elle. Ce fléau touche de plus en plus de jeunes (de plus en plus des 9/10 ans), confrontés aux mécanismes insidieux qui se mettent en place sans conscience au démarrage puisque bercés par l’adage « j’arrête quand je veux » !
En alternance, Abi et Cassandre font part de ce qu’elles vivent : pour la première c’est l’histoire vue de l’intérieure parce qu’elle la vit et pour la seconde c’est sa compréhension de l’histoire. Et puis, il y a Maxence et Danaé, jeunes hommes de la bande qui vont soutenir leurs deux amies.
Le livre se lit sans problème et rapidement. Certaines incohérences apparaissent dans le récit qui m’ont fait tiquée. Ces incohérences font que je ne suis pas rentrée à fond dans l’histoire. Ne vous trompez pas, entre mon âge et celui de l’auteure, il y a une expérience et un regard de la vie différente. Au mien, les nuances sont plus nombreuses qu’au sien. Par contre, à aucun moment, je me suis ennuyée. Le rythme est soutenu. En filigrane apparait qu’à leur âge, c’est celui de tous les possibles et où les fins se réécrivent à l’infini. C’est très bien suggéré dans l’histoire.
Toujours est-il que je la félicite et lui tire mon chapeau. Le talent est là et ne demande qu’à s’épanouir.
Une auteure à suivre