IMAQA
Roman, édité chez Acte Sud en avril 2012
442 pages
Résumé
Martin, instituteur danois de trente-huit ans qui ressent un vide dans son existence, demande sa mutation dans la province la plus septentrionale du Danemark, le Groenland. Il prend ses fonctions dans un hameau de cent cinquante âmes : Nunaqarfik, à plus de cinq cents kilomètres au nord du cercle polaire. Armé de ses bonnes intentions, encombré de sa mauvaise conscience coloniale et de ses idées préconçues, Martin découvre une communauté solidaire, dont la vie s'organise en fonction de la nature environnante - et pas malgré elle. Au fil des mois qui passent et des rencontres, dans une société où le rire est érigé en remède suprême contre la peur ou la tristesse, il apprend à apprécier ce qui est, sans se soucier de ce qui aurait pu être, et trouve ce à quoi il aspirait : l'aventure, l'immensité, l'harmonie, l'amour. Roman chaleureux et humaniste, qui dénonce notamment les ravages de la colonisation du Groenland par le Danemark, Imaqa est un hymne à la tolérance et à la douceur, porté par un humour irrésistible.
Mon ressenti
Un coup de cœur pour moi pour ce magnifique livre sur la tolérance, la bienveillance, la convivialité et le partage à découvrir sans plus attendre. La rencontre entre deux cultures est toujours au détriment de… du plus fort ou de ce qu’elle croit être supérieur de par son savoir !
Autour de nos croyances, de nos espoirs et nos vues, nous avons vite fait de refaire le monde en oubliant de demander ce que l’autre pense de notre idée… Ha omission !!!
J’ai adoré immensément ce livre pas seulement pour le lieu, les paysages, le mode de vie mais aussi surtout pour l’humanité qui se dégage de ces personnes qui ont su sauvegarder ce qui manque le plus à nos sociétés dites « modernes », le lien. Gangrène qui s’étend hélas de plus en plus même les coins les plus reculés…
Oui je veux croire que c’est encore possible et que si la modernité peut être source de bien être, d’amélioration, il ne faut pas perdre de vu que cela reste du matériel. La culture, les us et coutumes sont aussi importantes pour maintenir ce que nous avons de plus cher en nous. Nous ne venons pas de rien. Et puis, il y a l’humour des situations mais aussi du décalage dû aux différences de cultures. La vie et la mort n’ont pas le même impact en fonction du lieu où l’on habite.
A découvrir avec plaisir
Roman, édité chez Acte Sud en avril 2012
442 pages
Résumé
Martin, instituteur danois de trente-huit ans qui ressent un vide dans son existence, demande sa mutation dans la province la plus septentrionale du Danemark, le Groenland. Il prend ses fonctions dans un hameau de cent cinquante âmes : Nunaqarfik, à plus de cinq cents kilomètres au nord du cercle polaire. Armé de ses bonnes intentions, encombré de sa mauvaise conscience coloniale et de ses idées préconçues, Martin découvre une communauté solidaire, dont la vie s'organise en fonction de la nature environnante - et pas malgré elle. Au fil des mois qui passent et des rencontres, dans une société où le rire est érigé en remède suprême contre la peur ou la tristesse, il apprend à apprécier ce qui est, sans se soucier de ce qui aurait pu être, et trouve ce à quoi il aspirait : l'aventure, l'immensité, l'harmonie, l'amour. Roman chaleureux et humaniste, qui dénonce notamment les ravages de la colonisation du Groenland par le Danemark, Imaqa est un hymne à la tolérance et à la douceur, porté par un humour irrésistible.
Mon ressenti
Un coup de cœur pour moi pour ce magnifique livre sur la tolérance, la bienveillance, la convivialité et le partage à découvrir sans plus attendre. La rencontre entre deux cultures est toujours au détriment de… du plus fort ou de ce qu’elle croit être supérieur de par son savoir !
Autour de nos croyances, de nos espoirs et nos vues, nous avons vite fait de refaire le monde en oubliant de demander ce que l’autre pense de notre idée… Ha omission !!!
J’ai adoré immensément ce livre pas seulement pour le lieu, les paysages, le mode de vie mais aussi surtout pour l’humanité qui se dégage de ces personnes qui ont su sauvegarder ce qui manque le plus à nos sociétés dites « modernes », le lien. Gangrène qui s’étend hélas de plus en plus même les coins les plus reculés…
Oui je veux croire que c’est encore possible et que si la modernité peut être source de bien être, d’amélioration, il ne faut pas perdre de vu que cela reste du matériel. La culture, les us et coutumes sont aussi importantes pour maintenir ce que nous avons de plus cher en nous. Nous ne venons pas de rien. Et puis, il y a l’humour des situations mais aussi du décalage dû aux différences de cultures. La vie et la mort n’ont pas le même impact en fonction du lieu où l’on habite.
A découvrir avec plaisir