L'ESPOIR AU CORPS
Roman, édité chez Veredice en septembre 2017
336 pages
Résumé
En revenant dans la ville où il a grandi, Daniel se donne une ultime chance d’être heureux. S’il échoue, il laissera le VIH l’achever… Après avoir perdu ses parents, Kalinda a tiré un trait sur son avenir pour éduquer ses deux jeunes frères et sa sœur. Pourtant, elle ne peut se résoudre au sacrifice qu’est devenue sa vie… Un soir, sur le parking où il se gare chaque jour depuis un an, Daniel fait la rencontre de Kalinda. Très vite, pour les deux jeunes gens, l’espoir s’éveille. Mais pour avoir une chance d’être aimée, Kalinda décide de mentir sur sa situation : après tout, qui voudrait d’une femme avec trois enfants à sa charge ? Alors que Daniel s’efforce de construire un avenir, le mensonge et l’entêtement de Kalinda menacent de tout compromettre. Entre éclats d’amour et de colère, quel sentiment vaincra ?
Mon ressenti
Pas facile d’écrire une histoire d’amour qui sorte des sentiers battus et pourtant, c’est pour moi un grand coup de cœur pour cette superbe histoire à laquelle j’ai cru sans aucune difficulté. Il faut dire que cette autrice que j’ai découvert avec ce titre, a une plume qui marque et fait mouche. Elle a l’art de décrire les émotions, les ressentis des uns et des autres.
Une écriture magique, légère et puissante, percutante et sensible fait de ce livre, un trésor d’émotions. Un homme, une femme dans une ville que tout n’oppose pas mais chacun s’est fait la promesse ne plus y croire. Bon typique d’une belle romance sans aucun doute, pourtant autour du VIH et de la mort de proche, ce n’est pas simple de sortir du deuil et de ne pas se noyer.
C’est avec simplicité que j’ai été proche de Daniel tout comme de Kalinda, abimés par la vie, en traversant avec eux leurs doutes, leurs espoirs, leur colère, leurs joies, leurs non-dits, leurs peurs. Au-delà de l’histoire d’amour, tel un peintre, Anaïs a utilisé avec brio, toute la palette des émotions. Ses personnages prennent vie et vibrent encore en moi.
Il n’est pas facile de faire confiance à nouveau, comme il n’est pas facile de se livrer à l’autre lorsque l’on a été blessé. Au travers de sujets durs qui trainent leur lot de représentations (VIH et être tuteur d’enfants), j’ai adoré cette histoire qui montre oh combien nous avons besoin de l’autre pour pouvoir avancer sereinement.
Un livre construit au plus près de l’intime, qui nous tient en haleine et à fleur de peau, et montre ce que peut être notre humanité.
A découvrir absolument
Roman, édité chez Veredice en septembre 2017
336 pages
Résumé
En revenant dans la ville où il a grandi, Daniel se donne une ultime chance d’être heureux. S’il échoue, il laissera le VIH l’achever… Après avoir perdu ses parents, Kalinda a tiré un trait sur son avenir pour éduquer ses deux jeunes frères et sa sœur. Pourtant, elle ne peut se résoudre au sacrifice qu’est devenue sa vie… Un soir, sur le parking où il se gare chaque jour depuis un an, Daniel fait la rencontre de Kalinda. Très vite, pour les deux jeunes gens, l’espoir s’éveille. Mais pour avoir une chance d’être aimée, Kalinda décide de mentir sur sa situation : après tout, qui voudrait d’une femme avec trois enfants à sa charge ? Alors que Daniel s’efforce de construire un avenir, le mensonge et l’entêtement de Kalinda menacent de tout compromettre. Entre éclats d’amour et de colère, quel sentiment vaincra ?
Mon ressenti
Pas facile d’écrire une histoire d’amour qui sorte des sentiers battus et pourtant, c’est pour moi un grand coup de cœur pour cette superbe histoire à laquelle j’ai cru sans aucune difficulté. Il faut dire que cette autrice que j’ai découvert avec ce titre, a une plume qui marque et fait mouche. Elle a l’art de décrire les émotions, les ressentis des uns et des autres.
Une écriture magique, légère et puissante, percutante et sensible fait de ce livre, un trésor d’émotions. Un homme, une femme dans une ville que tout n’oppose pas mais chacun s’est fait la promesse ne plus y croire. Bon typique d’une belle romance sans aucun doute, pourtant autour du VIH et de la mort de proche, ce n’est pas simple de sortir du deuil et de ne pas se noyer.
C’est avec simplicité que j’ai été proche de Daniel tout comme de Kalinda, abimés par la vie, en traversant avec eux leurs doutes, leurs espoirs, leur colère, leurs joies, leurs non-dits, leurs peurs. Au-delà de l’histoire d’amour, tel un peintre, Anaïs a utilisé avec brio, toute la palette des émotions. Ses personnages prennent vie et vibrent encore en moi.
Il n’est pas facile de faire confiance à nouveau, comme il n’est pas facile de se livrer à l’autre lorsque l’on a été blessé. Au travers de sujets durs qui trainent leur lot de représentations (VIH et être tuteur d’enfants), j’ai adoré cette histoire qui montre oh combien nous avons besoin de l’autre pour pouvoir avancer sereinement.
Un livre construit au plus près de l’intime, qui nous tient en haleine et à fleur de peau, et montre ce que peut être notre humanité.
A découvrir absolument