Bienvenue au Mordred's Pub
Edition HLAB - 237 pages
Présentation de l’éditeur :
Quels lâches ! Jamais Naola n’aurait pu imaginer que ses parents puissent agir ainsi. Elle ne peut plus rester avec eux. Elle ne peut plus leur faire confiance. Pas après ce qu’il s’est passé, pas après ce qu’ils ont fait.Déçue mais déterminée, la jeune sorcière décide de fuguer et échoue aux Halles Basses, le quartier le plus mal famé de Stuttgart, la capitale de la fédération des Enchanteurs. L’endroit parfait pour se faire oublier. Très vite, Naola se rend compte qu’elle détonne dans ce repère de mercenaires et de vampires.Mais elle n’a pas le choix, si elle veut démarrer une nouvelle vie loin de ses parents, elle doit travailler ! Il n’y a qu’un micro-détail à régler : comment dénicher un emploi dans un endroit pareil ?
Mon avis :
Soyons claire, nette et précise : c’est la couverture qui m’a attirée quand j’ai découvert ce livre. Elle est singulière, et le contenu est singulier également
Oui, il est courant, surtout depuis Harry Potter, qu’un roman se situe dans un univers magique. Il l’est moins que les auteurs ne prennent pas des pages et des pages pour nous présenter à quoi ressemble cet univers, alternant description et explication. Oui, Naola vit dans un monde magique, elle connaît le mode d’emploi de ce monde, et y vit parfaitement, ou presque, du coup, c’est au lecteur de se fondre à son tour dans cet univers.
Après tout, Naola a une très grande faculté d’adaptation, pour une adolescente qui a grandi de manière choyée, protégée, et une très grande impulsivité aussi. Après l’événement dont elle a été témoin chez ses parents, elle quitte leur domicile sur ce qui peut sembler un coup de tête et mettra tout en oeuvre pour conserver cette indépendance. Autant dire que ce n’est pas facile. Elle est un peu coléreuse, cette Naola, elle s’emporte facilement, a le verbe assez haut – quand on travaille pour un vampire, c’est sans doute mieux.
Autre point fort de ce livre : l’ambivalence des personnages. Tout n’est pas tout blanc, tout n’est pas tout noir, et surtout, l’on ne sait pas sur qui s’appuyer, ni ce qu’il va advenir, quelles alliances vont se nouer, ou pas, qui va trahir, ou pas.
Un premier tome très intéressant.
Edition HLAB - 237 pages
Présentation de l’éditeur :
Quels lâches ! Jamais Naola n’aurait pu imaginer que ses parents puissent agir ainsi. Elle ne peut plus rester avec eux. Elle ne peut plus leur faire confiance. Pas après ce qu’il s’est passé, pas après ce qu’ils ont fait.Déçue mais déterminée, la jeune sorcière décide de fuguer et échoue aux Halles Basses, le quartier le plus mal famé de Stuttgart, la capitale de la fédération des Enchanteurs. L’endroit parfait pour se faire oublier. Très vite, Naola se rend compte qu’elle détonne dans ce repère de mercenaires et de vampires.Mais elle n’a pas le choix, si elle veut démarrer une nouvelle vie loin de ses parents, elle doit travailler ! Il n’y a qu’un micro-détail à régler : comment dénicher un emploi dans un endroit pareil ?
Mon avis :
Soyons claire, nette et précise : c’est la couverture qui m’a attirée quand j’ai découvert ce livre. Elle est singulière, et le contenu est singulier également
Oui, il est courant, surtout depuis Harry Potter, qu’un roman se situe dans un univers magique. Il l’est moins que les auteurs ne prennent pas des pages et des pages pour nous présenter à quoi ressemble cet univers, alternant description et explication. Oui, Naola vit dans un monde magique, elle connaît le mode d’emploi de ce monde, et y vit parfaitement, ou presque, du coup, c’est au lecteur de se fondre à son tour dans cet univers.
Après tout, Naola a une très grande faculté d’adaptation, pour une adolescente qui a grandi de manière choyée, protégée, et une très grande impulsivité aussi. Après l’événement dont elle a été témoin chez ses parents, elle quitte leur domicile sur ce qui peut sembler un coup de tête et mettra tout en oeuvre pour conserver cette indépendance. Autant dire que ce n’est pas facile. Elle est un peu coléreuse, cette Naola, elle s’emporte facilement, a le verbe assez haut – quand on travaille pour un vampire, c’est sans doute mieux.
Autre point fort de ce livre : l’ambivalence des personnages. Tout n’est pas tout blanc, tout n’est pas tout noir, et surtout, l’on ne sait pas sur qui s’appuyer, ni ce qu’il va advenir, quelles alliances vont se nouer, ou pas, qui va trahir, ou pas.
Un premier tome très intéressant.