NATURE MORTE AUX MIETTES DE PAIN
Roman édité chez Pocket en janvier 2018
352 pages
Résumé
Célèbre photographe, dont le cliché Nature morte aux miettes de pain avait lancé sa carrière et bouleversé son existence, Rebecca Winter est aujourd'hui une artiste has been et ruinée. Unique solution pour soulager ses finances en baisse et son inspiration en berne : quitter Manhattan. Sauf que la vie champêtre n'a rien d'idyllique : sa maison tient plus de l'abri de jardin que du petit cottage cosy, Rebecca partage le grenier avec un raton laveur et, les soirs de pluie, c'est l'inondation assurée. Quant à l'inspiration, elle ne revient toujours pas...
Mais sa rencontre avec Jim, jeune charpentier passionné d'ornithologie, pourrait bien tout changer, lui faire découvrir la majesté d'une nature vivante et peut-être réveiller son regard...
Mon ressenti
Le titre du livre est le titre d’une photo de Rebecca qui l’a rendue célèbre en tant que photographe du quotidien, qui a fait sa renommée et sa fortune. A 60 ans, elle est plus au moins ruinée et n’arrive plus à subvenir à ses besoins sans compter ceux de sa mère ou de son père.
Aussi pour trouver un nouvel essor, elle décide de quitter et de louer son somptueux appartement qui lui permettra sans folie de répondre à ses besoins. Elle arrive aussi à louer une cabane dans les bois.
La vie urbaine n’a rien à voir avec la vie rurale ou la vie en forêt… Rebecca va vite le découvrir au travers de différentes mésaventures. Pourtant, contre toute attente, elle s’adapte et découvre ce qui l’entoure.
Petit à petit son quotidien s’agrémente et son entourage jusqu’alors inexistant s’étoffe… C’est ce renouveau, ce nouveau départ qui permettra à Rébecca de retrouver l’envie, l’inspiration, le courage et de croire à nouveau à la vie.
Un livre que j’ai adoré et qui donne la part belle à l’espoir et à la puissance de la rencontre avec un autre.
A découvrir
Roman édité chez Pocket en janvier 2018
352 pages
Résumé
Célèbre photographe, dont le cliché Nature morte aux miettes de pain avait lancé sa carrière et bouleversé son existence, Rebecca Winter est aujourd'hui une artiste has been et ruinée. Unique solution pour soulager ses finances en baisse et son inspiration en berne : quitter Manhattan. Sauf que la vie champêtre n'a rien d'idyllique : sa maison tient plus de l'abri de jardin que du petit cottage cosy, Rebecca partage le grenier avec un raton laveur et, les soirs de pluie, c'est l'inondation assurée. Quant à l'inspiration, elle ne revient toujours pas...
Mais sa rencontre avec Jim, jeune charpentier passionné d'ornithologie, pourrait bien tout changer, lui faire découvrir la majesté d'une nature vivante et peut-être réveiller son regard...
Mon ressenti
Le titre du livre est le titre d’une photo de Rebecca qui l’a rendue célèbre en tant que photographe du quotidien, qui a fait sa renommée et sa fortune. A 60 ans, elle est plus au moins ruinée et n’arrive plus à subvenir à ses besoins sans compter ceux de sa mère ou de son père.
Aussi pour trouver un nouvel essor, elle décide de quitter et de louer son somptueux appartement qui lui permettra sans folie de répondre à ses besoins. Elle arrive aussi à louer une cabane dans les bois.
La vie urbaine n’a rien à voir avec la vie rurale ou la vie en forêt… Rebecca va vite le découvrir au travers de différentes mésaventures. Pourtant, contre toute attente, elle s’adapte et découvre ce qui l’entoure.
Petit à petit son quotidien s’agrémente et son entourage jusqu’alors inexistant s’étoffe… C’est ce renouveau, ce nouveau départ qui permettra à Rébecca de retrouver l’envie, l’inspiration, le courage et de croire à nouveau à la vie.
Un livre que j’ai adoré et qui donne la part belle à l’espoir et à la puissance de la rencontre avec un autre.
A découvrir