LE CHRIST S'EST ARRÊTÉ A EBOLI
Récit édité chez Folio en juin 1977
320 pages
Résumé
"Le Christ s'est arrêté à Éboli", disent les paysans de Gabliano, petit village de Lucanie, tellement ils se sentent abandonnés, misérables. L'auteur, antifasciste, a vécu là, en résidence surveillée, de 1935 à 1936. L'histoire de son séjour forcé parmi ces gens frustes et douloureux a été un des grands événements de la littérature italienne.
Mon ressenti
Carlo Levi, jeune médecin turinois, membre du mouvement justice et liberté, est exilé par les autorités fascistes dans une région reculée, appelée à l’époque Lucanie aujourd’hui les Pouilles. Il découvre la vie dure, âpre et misérable des gens. La malaria fait rage et décime… Le christ s’est arrêté à Eboli car en Lucanie, il n’était pas utile qu’il vienne pour des pouilleux…
Il raconte, conte, relate le mode de vie des gens qu’il croise, leurs coutumes et leurs croyances. Que ce soit avec un pinceau ou une plume, Carlo Levi a un style comme personne, ses mots font mouches et touchent.
Son récit autobiographique se montre sociologique et ethnologique, agrémenté d’anecdotes où l’ironie suinte envers les prétentions des autorités fascistes et la simplicité de ces hommes et femmes oubliés de tous.
Un monument de la littérature italienne
A découvrir
Récit édité chez Folio en juin 1977
320 pages
Résumé
"Le Christ s'est arrêté à Éboli", disent les paysans de Gabliano, petit village de Lucanie, tellement ils se sentent abandonnés, misérables. L'auteur, antifasciste, a vécu là, en résidence surveillée, de 1935 à 1936. L'histoire de son séjour forcé parmi ces gens frustes et douloureux a été un des grands événements de la littérature italienne.
Mon ressenti
Carlo Levi, jeune médecin turinois, membre du mouvement justice et liberté, est exilé par les autorités fascistes dans une région reculée, appelée à l’époque Lucanie aujourd’hui les Pouilles. Il découvre la vie dure, âpre et misérable des gens. La malaria fait rage et décime… Le christ s’est arrêté à Eboli car en Lucanie, il n’était pas utile qu’il vienne pour des pouilleux…
Il raconte, conte, relate le mode de vie des gens qu’il croise, leurs coutumes et leurs croyances. Que ce soit avec un pinceau ou une plume, Carlo Levi a un style comme personne, ses mots font mouches et touchent.
Son récit autobiographique se montre sociologique et ethnologique, agrémenté d’anecdotes où l’ironie suinte envers les prétentions des autorités fascistes et la simplicité de ces hommes et femmes oubliés de tous.
Un monument de la littérature italienne
A découvrir