Titre : Martin et la divine Chipie
édition :Didier Jeunesse - Nombre de pages : 96 pages
Présentation de l’éditeur :
Le jeune Martin quitte son petit village pour se rendre à la capitale, bien décidé à y faire fortune. L’aventure l’attend au premier croisement : Après avoir porté secours à une jeune meunière, celle-ci lui offre 3 objets magiques. Une bourse qui lui apporte une richesse inépuisable, une trompette qui lui promet la protection d’un chevalier et une ceinture qui l’emmène où il veut. Quel bonheur, Martin n’est même pas arrivé en ville qu’il a déjà tout ce qu’il souhaite !
C’est sans compter sur la convoitise d’une Divine Demoiselle qui sait repérer un naïf quand elle en voit un…
Mon avis :
Ceci est un conte, dont le héros un peu maladroit est Martin. Comme beaucoup de jeunes gens de n’importe quelle époque, la nôtre y compris, il ne souhaite qu’une chose : montrer à Paris ! Il s’en va donc rejoindre la capitale, toujours chantant (non, il n’envisage pas d’être candidat à un The voice médiéval). Comme tout héros de conte, même un peu naïf, il devra subir des épreuves. Ce ne sont pas forcément toutes celles auxquelles on pouvait penser. S’il sauve une douce meunière qui l’en récompensera grandement, et s’il en usera grandement aussi, il ne se doute pas que sa principale épreuve mettra en jeu sa naïveté.
La magie peut apporter du positif, ou au contraire du négatif, et si la chipie est divine (pourquoi n’existe-t-il pas de masculin à ce mot ?), elle ne manque pas de prétention, ce qui sera sa perte – si j’ose dire.
Comme souvent dans les contes, tout va par trois : trois objets magiques, trois épreuves, trois pommes (décidément, dans les contes, méfions-nous des pommes). Nous trouvons aussi des réminiscences de textes déjà connus – les contes se nourrissent à plusieurs sources. Je pense à Pinocchio, bien sûr, mais aussi à Yvain et le chevalier au lion.
Un livre pour nous montrer que l’art du conte est toujours vivant.
édition :Didier Jeunesse - Nombre de pages : 96 pages
Présentation de l’éditeur :
Le jeune Martin quitte son petit village pour se rendre à la capitale, bien décidé à y faire fortune. L’aventure l’attend au premier croisement : Après avoir porté secours à une jeune meunière, celle-ci lui offre 3 objets magiques. Une bourse qui lui apporte une richesse inépuisable, une trompette qui lui promet la protection d’un chevalier et une ceinture qui l’emmène où il veut. Quel bonheur, Martin n’est même pas arrivé en ville qu’il a déjà tout ce qu’il souhaite !
C’est sans compter sur la convoitise d’une Divine Demoiselle qui sait repérer un naïf quand elle en voit un…
Mon avis :
Ceci est un conte, dont le héros un peu maladroit est Martin. Comme beaucoup de jeunes gens de n’importe quelle époque, la nôtre y compris, il ne souhaite qu’une chose : montrer à Paris ! Il s’en va donc rejoindre la capitale, toujours chantant (non, il n’envisage pas d’être candidat à un The voice médiéval). Comme tout héros de conte, même un peu naïf, il devra subir des épreuves. Ce ne sont pas forcément toutes celles auxquelles on pouvait penser. S’il sauve une douce meunière qui l’en récompensera grandement, et s’il en usera grandement aussi, il ne se doute pas que sa principale épreuve mettra en jeu sa naïveté.
La magie peut apporter du positif, ou au contraire du négatif, et si la chipie est divine (pourquoi n’existe-t-il pas de masculin à ce mot ?), elle ne manque pas de prétention, ce qui sera sa perte – si j’ose dire.
Comme souvent dans les contes, tout va par trois : trois objets magiques, trois épreuves, trois pommes (décidément, dans les contes, méfions-nous des pommes). Nous trouvons aussi des réminiscences de textes déjà connus – les contes se nourrissent à plusieurs sources. Je pense à Pinocchio, bien sûr, mais aussi à Yvain et le chevalier au lion.
Un livre pour nous montrer que l’art du conte est toujours vivant.